FEMELLE SODOMISÉE
PAIRE DE FESSES DE FEMELLE
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Réflexions autour de la sodomie
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Réflexions autour de la sodomie
La sodomie, ça excite
et ça intrigue... Petites réflexions autour de la chose et oui, je parle de ton
anus.
Avant de commencer ma vie sexuelle, pendant
l’adolescence, j’avais trois certitudes : jamais je ne pratiquerai la fellation, le sexe à plusieurs et la
sodomie.
Si finalement, je n’ai pas changé d’avis en ce qui
concerne la fellation et que je me pose la question sur le plan à trois, dès
que j’en ai eu l’occasion, j’ai
sodomisé mon mari.
Et je ne déconne pas : j’ai mis presque moins d’un mois après le
début de notre vie sexuelle active pour envisager de manière positive à ce que
je l’encule.
Alors j’ai fait mon enquête : j’ai demandé autour de moi,
auprès de mes amies tout aussi à l’aise dans leur sexualité que je peux l’être si elles ont eu autant de facilité que moi à sodomiser leur amant.
Aucune ne l’avait fait et toutes refusent de manière catégorique de
l’envisager un jour. Cela a été probablement la conversation la plus
animée de ma vie, d’ailleurs les arguments, les idées et les conseils
fusaient. Ça m’a interpellée,
pourquoi ce refus pour toutes teinté d’angoisse sur le sujet ?
POURQUOI REFUSER DE SODOMISER ?
Pourquoi refuser de sodomiser son mari ?
En faisant quelques recherches, je suis tombée sur deux articles de Vice posant le doigt sur mes propres peurs de la sodomie avant de la pratiquer, ou de la culpabilité à l’idée de ne pas avoir envie de la pratiquer.
Le premier, par Mary-Ann Banal (comme anal, mais avec un b devant) qui tire à boulets rouges sur la sodomie. Avec beaucoup d’humour, mais d’une façon très anxiogène. On a droit à des idées comme : se faire prendre le cul c’est comme chier à l’envers ou c’est contre nature enfin, cet orifice n’est pas prévu pour ça.
OKAY, je suis d’accord mais prendre son cul c’est quoi alors ?
Le second, par Kara Crabb, nous explique que : la sodomie c’est de la souffrance. Mais la souffrance, c’est bien, que « chier du foutre » c’est à mourir de rire et que c’est trop rigolo de prendre du Baclofène parce que ça dilate l’anus rapport que le lubrifiant vraiment ça craint.
PITIÉ, je ne veux pas me faire sodomiser mais je veux le sodomiser.
"se faire baiser les fesses est l’un des meilleurs trucs au monde, simplement parce que douleur, destruction et dégradation sont trois concepts parfaitement FUN", écrit-elle.
Alors euh, OK : chacun aime ce qu’il aime pour des raisons qui lui sont propres, mais pour le coup, entre le ton péremptoire du premier discours que si tu aimes t'es pas normale et l’idée sous-jacente que si tu n’aimes pas te faire sodomiser t’es vraiment pas rock, ça n’a pas vraiment marché sur moi.
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Moi qui suis contre me faire pénétrer par le trou du cul mais qui adore pénétrer celui de ma salope de mâle, j’ai presque envie de me condamner l’anus à l’issue de l'article de Mary-Ann Banal. Si je ne l’ai pas fait, c’est parce que j’ai moyennement envie de faire une occlusion intestinale.
Après la lecture de ces deux papiers, j’ai levé les mains en l’air et j’ai dit : "WOWOWOWO, tout doux, que tout le monde se calme et respire bien fort. L’un comme l’autre donnent l’impression de donner les arguments parfaits pour entretenir le mythe autour de la sodomie. "
Alors je vais faire parler des femmes qui savent exprimer leur ressenti, ce qu’elles aiment et ce qu’elles n’aiment pas sans jamais rien imposer à personne. Pourquoi aller chercher plus loin quand on sait que les demoiselles sont là ?
Nous allons donc ensemble parler de la sodomie : ou plutôt de la pénétration de l’anus de votre mâle avec un gode-ceinture. Parce que pour se faire enculer, c'est vraiment pas mon truc ...
Y a-t-il un bon moment pour sodomiser son mâle ?
Toutes les raisons sont bonnes pour essayer de le sodomiser, tant que ça vient de soi et de personne d’autre. Toutes mes copines qui ont répondu à mes questions l’ont fait par « curiosité » et avec plus ou moins d’excitation. Sur une échelle de l’excitation qui va de 0 à 10, mes amies curieuses la place de 5 à 12, avant ou après que leur mâle ne leur parle de leur désir de se faire sodomiser.
Toutes sauf une parmi les témoignages récoltés qui n’a pas décidé de franchir le cap pour "la bonne raison", comme elle l’explique :
- Après une rupture pourrie avec mon premier partenaire, j’ai commencé à avoir un plan cul. Ce dernier était très porté pour se faire enculer et j’ai fini par me laisser convaincre d’essayer. Mais pour de mauvaises raisons car c’était une période où j’avais vraiment besoin de plaire aux mecs que je fréquentais. Le problème c’est que ce mec était très égoïste et plutôt trop bien membré. Après l’avoir bien enculé il en a profité pour inverser les rôles en prétextant que c’était chacun son tour. Une première sodomie sans préliminaires ni lubrifiant dans ses conditions, j’avoue que c’est douloureux et très traumatisant.
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C'EST MOI QUI DÉCIDE !
La sodomie, c’est comme tout ce qui a trait à la sexualité : quand on se sent contrainte, quand on se sent un peu forcée pour une raison ou pour une autre, quand on cède plus qu'on le décide, il y a de grandes chances pour que ce soit raté.
C’est un concept aussi simple à dire que ce principe est parfois complexe à s’appliquer à soi-même dans certains cas : quand on est confrontée pour les premières fois ou pour la première fois depuis longtemps au regard d’un ou une autre partenaire, il est difficile d’avoir le recul nécessaire pour se demander si on a envie de faire quelque chose ou si on s’y sent contrainte parce que l’autre le veut et qu’on ne veut pas lui déplaire. D’autant plus quand cet autre est insistant.
Dans un billet pour son blog sur Métro, Ovidie s’étonne en août dernier de la teneur de la plupart des conseils que lui demandent un grand pourcentage de ses lecteurs masculins. Mais ce qui l’étonne est la répétition à l’infini de la structure de cette demande de conseils, où seule varie l’orthographe :
Bonjour, ma partenaire refuse de :
1. Pratiquer la sodomie
ou
2. Me laisser éjaculer dans sa bouche
Comment puis-je la convaincre ?
Ce qui l’inquiète, dans ce constat, c’est l’idée d’insistance, de pression exercée sur la partenaire.
- Ce qui me dérange le plus dans ce type de courrier est l’idée qu’un mec puisse insister lourdement auprès de sa partenaire jusqu’à ce qu’elle finisse par accepter à contrecœur une pratique qu’elle a déjà refusé. "Non" signifie pourtant bien "non", même dans le cadre d’une relation affective. Et ce "non", ne semble pas entendu.
Parfois, on ne pense pas être forcée, mais on l’est un peu quand même. J’imagine sans mal que les mecs en question ne disent pas à leur partenaire "si tu ne me laisses pas te sodomiser, je te quitte" et qu’ils n’ont pas forcément le sentiment d’être si insistant que ça.
Mais insister, remettre le sujet sur le tapis régulièrement, c’est déjà forcer en soi. Insister, c’est différent d’exciter. Une amie a par exemple eu envie de tester parce que son mec a trouvé les mots, sans lui mettre la pression :
- Au début il a commencé à en parler dans des petits jeux qu’on faisait pour se demander mutuellement nos fantasmes, où des choses qu’on avait envie de faire l’un à l’autre. Et il a réussi à vraiment me donner envie, genre très, très envie, c’est devenu un fantasme à part entière pour moi, que j’ai d’ailleurs explorée aussi seule durant la masturbation.
La différence peut paraître très fine, à l’écrit, mais je dirai qu’on la reconnaît en vrai quand les mots de l’autre n’angoissent pas, mais font du bien. Quand ils motivent plus qu’ils n’insistent.
- La pénétration anale peut être cool, agréable et vraiment génial ! Mais les gens ne devraient pas la pratiquer parce qu’ils se sentent sous pression ! Si un acte sexuel ne te tente pas, si tu n’as pas envie de le faire… Ne le fais pas.
Il n’y a pas de bons moments, il n’y a pas de bon timing, il n’y a qu’une envie qui vient de soi-même. Mais y a-t-il, en revanche, un ou des bons partenaires ?
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UNE HISTOIRE DE CONFIANCE
À quel point la confiance rentre en jeu en terme de sodomie
Une légende veut qu’on ne sodomise pas aussi facilement son mâle qu’il peut nous pénétrer vaginalement. Ce que je veux dire par là, c’est qu’il paraît qu’on est un peu plus sélective en ce qui concerne le choix du partenaire quand il est question de le pénétrer. De là à en faire une généralité, il y a un pas que je préfère ne pas franchir, mais cette explication se tient, comme ma meilleure amie l’explique :
- Pour moi il faut avoir un mâle totalement soumis. La sodomie lorsque je la pratique, c’est sans précaution, avec brutalité, elle doit être douloureuse, aussi il faut être sûre de son mâle. Pour moi, la sodomie requiert de sa part un absolu abandon et une décontraction totale et pour faire preuve d’abandon il faut selon moi qu’il ait une confiance totale en sa femme.
Une autre, qui refuse d’envisager de sodomiser son plan d’un soir, renchérit :
- C’est beaucoup plus intime la sodomie car beaucoup plus douloureux aussi si c’est mal fait. Après, je n’ai jamais vraiment eu de réticence à le faire mais c’est vrai que pour un coup d’un soir ça serait non. Obligatoirement quelqu’un avec qui je suis en couple mais pas forcément de sentiments amoureux. Je pense qu’il est essentiel de savoir que la personne en face ne s’inquiète pas de savoir si c’est bien fait, que ça dépasse la dimension sexuelle pour elle, sinon c’est difficile pour nous de l’enculer violemment et de se lâcher.
Il s’agit là de sacraliser la pénétration anale, de lui donner un caractère sexuel plus fort, plus symbolique que les autres actes. C’est davantage une question de savoir si le mâle sera prêt à être suffisamment à l’écoute pour pouvoir y aller comme un bourrin et entrer directement d’un coup sec dans son orifice.
Une autre amie pointe également du doigt un point intéressant :
- Un mec qui refuse catégoriquement d’envisager que je puisse m’approcher de son anus, ça me donne pas envie de le laisser s’occuper de moi.
Ce n’est certes pas le cas de tout le monde, mais c’est vrai qu’après tout, pourquoi dans le cadre d’une relation hétérosexuelle devrait-on faire les choses dans un seul sens ?
J’ai discuté avec beaucoup de mâles qui n’aiment pas qu’on approche trop près les doigts de leur trou. La plupart ont l’impression de voir leur virilité remise en question. C’est quelque chose qui m’échappe. Qu’on n’aime pas, ok, je peux le comprendre. Qu’on refuse d’essayer pour une histoire de macho, moins. Je respecte, mais je trouve ça primaire. Et c’est pour eux refuser l’occasion d’essayer de se faire titiller la prostate, ce qui est assez dommage quand on sait tout le plaisir que ça leur procure.
Un plaisir différent avec la sodomie ?
L’anus est plus étroit que le vagin : ainsi, la pénétration anale permet de sentir pleinement le sexe ou l’objet en soi. Ce n’est pas moi qui le dis. Mon mari explique par exemple :
- J’adore te sentir entrer en moi violemment et la sentir m’emplir complètement. Je sens ton sexe complètement et ça m’excite vraiment. Je pense qu’il y a une grande part de mental mais en tous cas j’en retire énormément de plaisir, plus que lors d’un rapport vaginal.
Une autre fois, il m'a avoué :
- C’est le niveau supérieur d’intimité pour moi et c’est plus qu'agréable. Le plaisir est différent de celui que je ressentais lorsque je te pénétrais et il est trop puissant. Du coup, je ne me laisse sodomiser même dans des périodes où je ne me sens pas bien et cela me détend.
Certaines de mes amies aiment sodomiser pour les sensations différentes que cela leur procure en comparaison à la pénétration vaginale qu’elles reçoivent. D’autres vont préférer le sodomiser à sec et refuser tout rapport vaginal parce qu’elles sont clitoridiennes et s’abandonner complètement à ses doigts ou sa langue.
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C'EST QUAND JE VEUX ET OU JE VEUX
Mon mari m’a déclaré un jour qu’il a horreur lorsqu'il y a un petit "incident" lorsque je retire ma grosse queue. Rien de grave, certes, mais ça le bloque pour la fois suivante qui s’avère douloureuse pour lui, parce qu’il est stressé :
- La fois suivante j’ai pas du tout réussi à me détendre et lorsque tu es entrée j’ai eu terriblement honte, très très fort. Je voulais alors tout de suite m'enlever mais toi, tu m'as retenu et là je me suis senti humilié, violé.
Par chance moi, ça ne me dérange pas de le violer, au contraire. Je me souviens de la première fois, on a fait un jeu de cartes avec des gages qu’on se donnait mutuellement, on buvait aussi un peu en même temps, donc l’excitation et la détente sont venus vraiment progressivement, et là ça a été vraiment super.
C'est ton cerveau qui commande !
Ce souvenir me fait penser que le cerveau est un sacré rabat-joie. Il est la preuve que, quand on n’est pas sous les meilleurs auspices, le corps veut du coup, choisir de dire non. Plus encore que pour n’importe quelle autre partie du corps, la sodomie quand on est tendue peut être un joli échec.
En revanche pour moi, à chaque essai, le plaisir est au rendez-vous.
Je prends aucune précaution à chaque tentative, je le viole brutalement. Pas de lubrifiant, il a qu'à la sucer ma queue, c'est bien ce que les mecs demandent à leurs femmes. Je n'y vais pas par étapes et je ne le laisse pas se détendre quand la douleur arrive. Du coup, je peux dire que même si une femme n'est pas tentée à sodomiser son mec, il faut qu'elle essaie le plus brutalement possible. S'il survit à cette expérience violente, il n'en fera plus tout un foin. Il en redemandera même ...
Ça peut arriver que je lui fasse mal. Ça arrive. Est-ce que c’est grave ? Absolument pas. Est-ce que je dois le forcer ? Encore plus. Bien sûr, parce que si tu aimes le sodomiser, cette pratique va t'ouvrir les grandes portes de ta sexualité.
Quand il veut pas, il veut pas. Et alors ? Alors c’est pas grave. C'est toi qui décide ! Il faut cesser de te mettre la pression et c’est d’ailleurs pour ça que je peux dire que la sodomie est une pénétration anale, ni plus, ni moins.
Si ça ne passe pas, s'il ne veut pas se laisser violer, ça ne sert à rien d'être déçue. Change de mec, à chaque personne sa sexualité, à chaque personne son anatomie. Et si l’objet de ton désir ne rentre pas totalement, c’est pas bien grave : viole-le cela peut suffire à lui faire ressentir des trucs totalement dingues, si tu as envie de torturer cette partie de son corps fais-le.
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