CAGE DE CHASTETÉ

FASCINER POUR MIEUX FRUSTRER

FRUSTRER POUR MIEUX DOMINER 


Il faut commencer par rappeler que le terrain sur lequel j'agis, le mâle, son comportement, sa libido, est un terrain certes accidenté, avec quelques pentes, mais que son décodage est relativement simple. Mon mari obéit à quelques règles naturelles que l’on pourra utiliser pour partie et contrecarrer pour d’autres.

Le sperme est un poison.
Parmi ces règles il en est une que nous connaissons toutes : tant qu’il n’a pas joui, le mâle peut être prévenant, attentif, actif, réactif, il peut déployer des efforts important pour parvenir au moment qu’il espère. Mais une fois que c’est fait, même en dehors du petit vide de la dépression post-coïtale, il perd instantanément toutes ces qualités jusqu’à ce que son petit réservoir se remplisse à nouveau, instille dans son corps et son cerveau, les hormones qui vont agir un peu comme un poison interne et le conduire à reprendre sa quête (et sa quéquette) pour s’en débarrasser. Ce qui explique, soit dit en passant, qu’un mâle qui a l’habitude de se masturber régulièrement soit beaucoup moins tourné vers sa femme et bien moins attentif ou attentionné. Quand on sait cela, qu’on le considère avec un peu de bon sens, on commence assez vite à entrevoir la méthode qui permettra de changer quelques paramètres …

Des accélérateurs de libido.                                                                                
Mon mâle est très sensible à sa libido et certaines choses assez simples sont de très bons accélérateurs. Lorsque je porte des talons hauts, des bottes jusqu'aux genoux. Il n’en faut pas plus pour le mettre en vrille et faire des sauts de kangourous. Pire encore, ce sont des bas, porte-jarretelles, ou des décolletés. De la lingerie, des jupes moulantes ou courtes, la forme de mes fesses, une façon de faire un geste, etc. Bref, il faut que je le fasse vibrer ! En général, je sais, mais quelquefois je crois savoir, il a ses petits secrets qu’il n’a jamais osé me dire ou préfère garder pour lui. Je me débrouille comme je peux, mais je veux savoir. Par exemple, je lui dis que j'aimerai qu’il me montre sur internet des tenues qu’il aimerait m'offrir, ou des objets. Des photos qui l’excitent, etc. Pour simplifier qu’il m’envoie ses découvertes par mail en me faisant un hit parade des 10 préférences. 

La cage, c'est le dispositif de freinage … empêcher le soulagement.
Vous le savez que c'est le meilleur moyen d’empêcher, ou de retarder, l’expulsion du sperme de votre mâle. Si vous savez que votre mari a comme réflexe de se masturber même involontairement en dormant, la mise en cage de chasteté est particulièrement recommandée. Et franchement vous allez vous régaler, vous allez trouver extraordinaire la façon dont il se tourne vers vous naturellement. Vous détenez la clé et naturellement il est sous votre emprise, prêt à tellement de promesses et d’aveux pour avoir son « shoot » ! 
Il y a d’autres moyens, ceux que la femme utilise depuis la nuits des temps pour ne pas passer à la casserole le jour où elle n'en a pas envie, les « mauvais moments », quand justement il y a du monde, qu’on rentre tard, etc. Mais la cage reste celui qui vous rendra heureuse et le frustrera au mieux...

Le second effet kisscool de la mise en cage : la frustration.
Fasciner pour frustrer, un concept qui se met en place dès lors que la femme commence à dominer son mari. Par exemple vous estimez qu’il est anormal qu’il puisse vous toucher les fesses en passant à coté de vous dans la vie de tous les jours, comme cela peut arriver n’est ce pas…. Vous commencez par bloquer sa main gentiment en lui signifiant ainsi que vous n’êtes pas un joujou. Mais comme il a eu du mal à résister, vous commencez à régenter l’accès à vos fesses de façon plus stricte, dommage, fallait pas … S’il tente ce genre de geste, vous lui prolongez sa mise en cage pour 24 h, ou 48 h, ce qui lui vaudra quelquefois des semaines entières de privation. Mais vous allez alors ajouter un vilain petit plus : mettre vos fesses en valeur puisqu'il en est privé… Et en particulier si il est en cage, incapable alors de se soulager. Puis vous instituez d’autres règles à ce propos. Par exemple, s’il veut toucher vos fesses, il doit vous le demander de façon soumise. Et pas n’importe comment : il doit vous demander de lui « accorder l’autorisation » etc… Les mots comptent, et vous exigez qu’il s’y plie. Quand à votre réponse, c’est non en général.
Une autre frustration que vous aimez beaucoup, c'est de porter un vêtement qu’il aime vous voir porter au mauvais moment pour lui. Une jupe moulante qui le fait rêver, rien qu'à penser de voir vos fesses bouger dedans. Très bien, vous sortez sans lui et profitez de porter la jupe, avec une veste ouverte, mais qui cache vos fesses. Vous partez, le laissant seul, bien verrouillé en cage. Il voit bien que vous portez enfin cette jupe, il imagine et entrevoit ce que ça va donner, mais pour ce qui est de la réalité, ce n'est pas pour lui …

Frustrer pour … dominer !
Et c’est là le plus étonnant : loin de vous en vouloir de le mettre à de telles épreuves, votre mari fasciné se tourne encore plus vers vous, espère quelques miettes de votre part. Miettes que vous lui accordez régulièrement. Ces quelques miettes peuvent faire l’objet d’une sorte de négociation implicite : en se soumettant, et étant encore plus prévenant, il aura plus de chance d’obtenir un peu de plaisir. Ici, en rentrant après votre soirée, veste fermée, vous décidez ou pas de la retirer et de marcher un peu dans la pièce avant d’aller vous coucher. Cela dépendra de son attitude, ou de la journée, mais cela dépendra surtout de votre bon vouloir. Plus cette pression monte, s’exprime, plus les exigences sont fortes, pour si peu de choses en retour, plus la domination s’exerce dans une relation cérébrale asymétrique. Et la chasteté imposée, avec une durée qui peut s’allonger de façon injuste, ne fera que démultiplier le phénomène.
Osez !
Alors même si vous n'osez pas aller trop loin dans la pression, en vous disant qu’avec la cage de chasteté, ça fait déjà beaucoup, je vous conseille d’oser. Dès lors que vous êtes en situation de dominer, n’hésitez pas à enfoncer votre mari dans la frustration avec un petit brin de cruauté. Travaillez votre « garcitude ». Expérimentez, calculez, pimentez, vous ne le regretterez pas. Vous pouvez même vous permettre de vous moquer de lui, tournez en dérision ses petites obsessions dont vous savez qu’elles ont tant d’importance pour lui, en faire des caprices que vous pourriez peut être satisfaire un jour, etc …

CAGE DE CHASTETÉ : le must pour dominer votre mari


Nous allons entrer dans le vif du sujet, de la mise sous contrôle du mari, sur le plan sexuel par la pratique de la cage de chasteté. Le but est d'empêcher le mâle de bander et/ou de jouir, pour dire les choses simplement, tant que vous n’avez pas décidé de le lui accorder. La cage de chasteté ferme à clé et seule la femme détient cette clé. 
La sexualité du mâle passe donc par le pouvoir de la femme. En dehors de la phase du début, quand c’est un jeu et que ce dispositif n’est qu’une façon de retarder une jouissance démultipliée, le résultat est … une forte excitation du mari et une acceptation du fait qu’il s’agit d’un jeu.
Lorsqu'il passe dans des phases ultérieures, ou votre mari comprend que ce n’est plus un jeu, mais un outil puissant entre les mains de sa femme pour le mettre sous son contrôle exclusif, le résultat est à chaque fois une soumission démultipliée du mâle qui comprend que le fait de ne plus pouvoir expulser sa semence quand il le veut, avec vous ou seul, créé des désordres qu’il ne peut plus contrôler correctement. Il dépend alors de vous pour pouvoir se soulager et aussi obtenir un moment de plaisir d’ordre sexuel.
Tout ceci est lent à mettre en place, sur le plan technique aussi bien que sur le plan de la relation, mais le résultat est le même : le mâle finit par se soumettre et accepter bien d’autres choses par dépendance. La femme, même si elle était réticente au début, finit par ne plus pouvoir se passer de détenir la clé et par trouver tout à fait normal que son mari soit sous son contrôle. En général et par désir de la femme, le retour en arrière est impossible.
Il est du reste assez intéressant de noter que c’est le mari qui introduit l’idée d’essayer une cage de chasteté. Dans ce cas Madame, ne faites pas la fine bouche et laissez le essayer, mettre au point, trouver les bons réglages. Puis confisquez-lui la clé de temps en temps un jour ou deux, juste avant une fête sexuelle, pour le laisser se prendre dans le piège. 
Et puis un jour, vous gardez la clé un peu plus longtemps et c’est vous qui décidez. Puis un autre jour, vous gardez la clé définitivement et il ne pourra pas l’utiliser sans votre accord. Ensuite, l’engrenage se mettra en place progressivement, les étapes sont nombreuses et délicieuses ….


Cage de chasteté type HolyTrainer : pas mal du tout !

Tout commence par le petit bout de la lorgnette, par lequel tout se décide : la clé sur ma poitrine. Regardez-la bien, vous la reconnaîtrez plus loin. Et mon mari l’a aussi regardée, jour après jour, pendant tout le temps des essais. Et comme je voulais voir comment ça se comportait sur la durée, j’ai fait durer les essais … 

Je viens maintenant à un petit détail : le haut de l’étui forme une sorte de langue jusqu’à l’anneau, en chevauchement, ce qui empêche l’encagé de passer son doigt sur le dessus, à l’intérieur et le long de l’étui, pour aller se tripoter. A cela, on peut ajouter que la cage est pleine contrairement aux cages à barreaux, ce qui permet de créer un véritable isolement du sexe, plus propice à une chasteté plus réelle.

Portée, on voit que la cage est assez courte... Elle a un coté sobre que j’aime bien. Il y a vraiment beaucoup de points positifs.

Reste maintenant à faire des essais sur la durée, sans quoi il n’y a pas grand intérêt. Je finis donc par cela. Je commence par 1 jour, puis 2 pour les réglages. Puis je garde mon mari enfermé 2 semaines. A l’ouverture, il faut faire un peu de toilette. Mon mari tout content s’est alors empressé de déclarer que c’est concluant. Un peu vite à mon goût…. Je referme tout ça pour 5 semaines, pendant lesquelles il a admiré la clé sur moi ... Une occasion de dominer mon mari que je ne laisse pas passer, en gentille femme dominatrice.


Et la sexualité ? 
Je ne veux pas qu'il éjacule en ressentant du plaisir. Je l'autorise à laisser son sperme s'écouler mais il faut qu'il l'avale après... Je ne l’habitue pas aux libérations et cela ne me dérange pas s'il reste enfermé à vie. La sexualité avec un mâle sous chasteté est fabuleuse. Vous trouverez également que son pénis est un peu plus doux grâce au confinement dans un dispositif lisse. L'option que j'ai envisagée est d’avoir une sexualité sans le déverrouiller. Mais comment faire l’amour sans le déverrouiller ? 


Accessoires et taquineries 
La plupart des mâles exigent des dispositifs pour appliquer ces cycles de chasteté. J’ai déjà essayé la chasteté sur l’honneur auparavant. Elle fonctionne rarement longtemps. Lorsque la chasteté sur l’honneur est employée, assurez-vous de vérifier la consistance de son sperme chaque fois qu’il est autorisé à se libérer. Après le troisième jour, il devrait toujours avoir des écoulements de pré-sperme lorsqu’il est excité. J’aime me présenter à lui et me pencher en avant devant lui, gémir un peu, tapoter la cage et caresser ses bourses tout en le taquinant et lui rappelant que son pénis me manque. Je vérifie ensuite qu’il y a des écoulements. L’avantage supplémentaire de le taquiner est que ça contribue à le garder dans un état excité pour atteindre un niveau élevé de production de sperme et d’hormones. Depuis le temps, j’en suis aussi venue à préférer l’aspect d’un pénis en cage à un pénis flasque, mais il s’agit ici d’une préférence personnelle. Et si mon homme a subi une vasectomie ? Seulement deux à cinq pour cent de ce qu’il éjacule est en fait constitué de spermatozoïdes. En contrôlant ses cycles d’éjaculation, vous prenez le pouvoir sur ce que son corps réclame : déverser le plus fréquemment possible par une éjaculation le fluide séminal produit en abondance dans son organisme. Ce fluide provient de sa prostate, des vésicules séminales et est précisément l’endroit où les hormones s’accumulent. Les bienfaits réels que vous pouvez en tirer sont donc toujours intacts. La seule différence avec un homme ayant subi une vasectomie est que son sperme sera généralement plus clair qu’un homme qui produit des spermatozoïdes fertiles rejoignant la prostate pour constituer le sperme. Votre homme ressentira toujours la même envie grandissante et exhortera tout autant à éjaculer comme un homme qui produit un sperme fertile et, plus important, vous obtiendrez toujours les mêmes avantages hormonaux. 
Doit-il avaler sa semence ? 
C’est là que je perds parfois des gens. C’est totalement facultatif, mais j’ai l’impression que c’est une bonne idée car c’est quelque chose qu’il ne voudra certainement pas faire. Alors qu’il peut sembler prêt à tout au premier abord – un homme sous chasteté sera facilement d’accord pour en accepter le principe avant l’échéance – il perdra tout désir de le faire une fois l’éjaculation accomplie. Donc, je lui demande souvent d’avaler son sperme parce que d’une part cela renforce la domination et d’autre part l’ingestion de ces petits nageurs a des avantages reconnus pour la santé (renseignez-vous sur ces avantages). Ma recommandation est de ne pas précipiter les choses. Commencez par le verrouiller sous chasteté et passez à cette étape lorsque vous sentez que l’occasion se présente ou si vous voulez renforcer sa soumission envers vous.


Humiliation 
Parfois, il m’avoue se sentir humilié d’être utilisé pour mon seul plaisir, le laissant avec un pénis engorgé et mes sécrétions maculant son visage alors que je suis déjà partie m’occuper à autre chose. Mais cette dynamique le rend encore plus amoureux, donc j’approuve. L’humiliation fait partie de son mécanisme d’excitation, cela semble être le résultat de la privation. Les couples doivent faire leurs propres observations sur ce point et voir si cela fonctionne aussi pour eux. La privation concourt à l’acceptation de son rôle comme objet de mon plaisir et le rend disposé à me servir encore et encore. Maintenant, il me demande systématiquement la permission avant de pouvoir éjaculer, et notre amour s’est nettement renforcé, devenant beaucoup plus fusionnel. Aujourd’hui, avant toute éjaculation, il attend sagement mon autorisation. Et la dernière chose qu’il entend juste avant est le son de ma voix lui donnant la permission de le faire. Isolé, ce seul point introduit déjà d’importants changements dans la relation. Et je dois admettre que c’est très émouvant de voir un pénis jaillir simplement parce que je le lui demande. Lorsque je m’apprête à lui donner la commande de libération, j’aime beaucoup être à cheval sur son visage – c’est ainsi que j’obtiens la plupart de mes orgasmes – et regarder vers son sexe pour voir sa semence éclabousser abondamment. Maintenant que je me suis appropriée cette partie privée de sa vie et que je me suis substitué à son cerveau dans le processus de prise de décision entre lui et son pénis, il ne conçoit plus de se passer de moi. Nous sommes ainsi passés de mener des vies séparées dans de nombreux domaines à être beaucoup plus proches et la fréquence de nos moments d’intimité c’est considérablement accrue.  


Le cunnilingus et la sodomie 
Dans le nouvel état émotionnel qu’il découvre, il sera probablement très ouvert pour essayer de nouvelles choses, en particulier des choses de nature sexuelle. C’est une excellente occasion d’essayer le pegging (sodomie avec un gode-ceinture) qui servira à vous faire ressentir la merveilleuse sensation de toute puissance alors qu’il s’enfonce encore davantage dans la perception d’émasculation. C’est l’activité appropriée pour affirmer votre domination dans la relation et pour l’aider à comprendre ce que ça représente d’être le “receveur”, de se “faire prendre”. Il n’y a aucun doute qu’une séance de pegging ou deux le transformeront en un bien meilleur amant, bien plus prévenant. Avec mon chéri, nous avons recours au pegging au moins une fois par semaine et c’est moi qui prends toujours l’initiative. Typiquement, je vais aller dans notre chambre, prendre mon strap-on et lui ordonner de s’allonger sur le ventre. Je n’aime pas trop les préparatifs : lui demander de s’administrer un lavement, etc. En le transformant par une longue préparation, ça devient moins spontané et l’acte perd de son caractère dominant. Je préfère la version façon « Couche-toi là et tourne-toi, je veux prendre ton petit cul ! » au lieu de « Ce soir, j’aimerais bien te prendre, donc s’il te plaît applique-toi un lavement après la douche et habille-toi pour la nuit ». Le pegging perd toute la domination associée si vous ne le faites pas spontanément et dans l’instant. Je trouve que cela me permet d’être plus rude et moins délicate avec lui. J’aime le maintenir par les bras, les jambes en arrière et lui dire quelle position je veux, lui ordonner de reculer lui-même sur le gode. Assurez-vous d’être dominante et affirmez-vous, ne lui posez aucune question sur ce qu’il veut, comment il aimerait… S’il n’aime pas quelque chose, il saura le dire. J’aime aussi vraiment l’obliger à sucer mon strap-on avant de l’embrocher. Je trouve que l’acte (lui regardant vers moi pendant que je le rassure et lui explique la meilleure manière de sucer mon pénis en caoutchouc) est très excitant et me donne une plus grande détermination, une légitimité dominante plus indiscutable pour l’action à venir. Pourquoi accepterait-il tout cela ? La réponse est parce qu’il aspire intimement qu’une femme prenne la responsabilité de la sexualité à sa place. La sexualité est dévorante et déroutante pour les hommes puisque, d’une part, chaque parcelle de leur être aspire à une sexualité qui épanche leur sperme sur une base très régulière et, d’autre part, le contexte sociétal leur impose d’être dans la performance. Grâce à votre mainmise, il appréciera vivement de ne plus être astreint à cette activité chronophage, énergivore et épuisante, elle ne relèvera plus de lui. Vous en tirerez également profit parce qu’il ne viendra plus vous importuner sur la sexualité puisque dorénavant, pour chaque requête, il y aura des conséquences. Il se rendra compte qu’une grande partie de son esprit est employé à trouver des sousentendus discrets pour vous persuader de coucher avec lui. Il essaiera de faire la même chose pour vous amener à le déverrouiller, mais il se sentira privé de tout pouvoir devant ce désir induit par sa composante animale. Il sera alors rassuré : quelqu’un d’autre a pris ce fardeau en charge pour lui et il pourra alors se concentrer sur les aspects plus constructifs de la vie quotidienne. L’énergie et le temps qui précédemment était gaspillé à essayer de vous convaincre de coucher avec lui, à se masturber est maintenant redirigé vers vous, le travail, les violons d’Ingres ou d’autres priorités. Vous redéfinissez sa masculinité et il sait maintenant que l’aspect sexuel de sa vie est hors de son contrôle et qu’il subit les conséquences lorsqu’il essaie d’influencer vos desseins sexuels pour lui. Sous peu, vous et lui apprécierez une relation beaucoup plus saine, émotionnellement positive, sexuellement enrichissante et productive. Dans la semaine, votre relation va évoluer, se transformer et lorsque viendra le moment de le déverrouiller, vous serez étonnée de l’être qu’il est devenu. Parfois, je tiens son pénis verrouillé dans ma main et j’entame une conversation. Cette caresse manuelle le rassure et lui permet vraiment de s’ouvrir et de discuter de sujets sérieux avec beaucoup plus de sincérité et de profondeur. Façonner votre homme Prendre les rênes 

En résumé. 
Commencez par prendre le contrôle de votre relation en limitant ses orgasmes à une fois par semaine et lentement essayez de lui faire accepter le port d’une cage de chasteté puis des activités de pegging dans votre relation si vous le pouvez. Si vous parvenez à lui faire admettre que ces idées viennent de lui, ce sera beaucoup plus facile. Il est improbable que vous puissiez l’amener à vouloir de lui-même être enfermé, mais vous pouvez obtenir qu’il soit convaincu d’avoir besoin d’être enfermé. Les hommes ont un puissant désir instinctif de nous plaire et s’ils mesurent à quel point cela nous rend heureuses, ils accepteront et se rangeront à l’idée que c’est une nécessité pour nos relations. Les hommes sont fondamentalement différents de nous et ce n’est pas une mauvaise chose. Nous avons juste besoin de les observer d’un point de vue purement scientifique et de modeler nos objectifs dans notre relation à partir des besoins de nos hommes. Ne le dévalorisez pas pour autant et ne soyez pas découragée par ses constants besoins, c’est ainsi que les hommes sont conçus et la montée permanente de leur désir généré par la production de spermatozoïdes ainsi que l’envie permanente d’épancher leur fluide reproductif est juste quelque chose qui est partie intégrante de leur sexualité. Aucune de mes suggestions ne devrait vous encombrer d’efforts supplémentaires. En fait, vous constaterez qu’avec quelques ajustements simples à votre routine quotidienne ces lignes directrices augmenteront considérablement le bonheur et la pérennité globale de votre relation. La plupart des changements le concernent lui et viendront naturellement avec quelques modifications de ses attentes sexuelles et quelques adaptations très mineures à votre relation. Une fois que vous aurez appris à contrôler ses pulsions, vous aurez un homme émotionnellement présent qui est capable d’entretenir une relation enrichissante pour tous les deux.  

Façonner votre homme 
Mes secrets pour une relation épanouie 
Une foule de raisons sans ordre particulier. Je vais probablement en rajouter au fil du temps : chaque fois que de nouveaux avantages m’apparaîtront. 
• Quand il n’est pas avec vous, il n’a pas d’autre choix que de vous rester fidèle. 
• Il ne peut plus se masturber sans votre approbation. J’ai été étonné de découvrir qu’il avait l’habitude de se masturber tous les jours. Nos moments d’intimité s’espaçaient dangereusement. Pas étonnant ! 
• Ses propos envers vous deviendront beaucoup plus respectueux et bienveillants. 
• Il ne se hasardera plus à s’efforcer de vous persuader dans ses conversations. Oui, qu’il en ait conscience ou non, il s’y essaye. 
• Il deviendra moins obsédé par son pénis comme incarnation de sa sexualité. 
• Il commencera à associer d’autres parties de son corps et d’autres activités avec la sexualité. Il se sentira plus à l’aise quand vos jeux ne tournent pas autour de son pénis, la sexualité n’y étant pas réduite. 
• Ses échanges avec vous augmenteront de manière significative tant en quantité qu’en qualité et sincérité. Façonner votre homme Pourquoi le mettre sous clef ? 
• Ma composante sexuelle augmente nettement parce que je me sens baignée d’une atmosphère confortable et plus propice. 
• J’aime le voir nu : sa cage m’apporte le sourire chaque fois que je la vois. 
• La sensation de contrôle est . 
• Savoir qu’il vous permet de contrôler ce qu’il estime le plus précieux est une énorme source d’excitation. 
• Il ne ressent plus de honte de ses petites habitudes de masturbation car elles sont maintenant drastiquement réduites et se déroulent sous votre supervision. 
• Il aura plus d’énergie sexuelle pour vous. Ses besoins seront sublimés en vous prodiguant les massages et caresses douces que vous espériez depuis si longtemps. Vous n’aurez plus à les solliciter, elles viendront tout naturellement. 
• Il est attentif aux détails sur les tâches que je lui demande de faire. Le soin en est sensiblement amélioré : il est soucieux de ne pas me décevoir. 
• Il va participer davantage à la tenue de la maison. Probablement qu’il sera même bénévole pour faire ces corvées. (Imaginez un peu !) 
• Il va commencer à vous demander ce que vous voulez.
 • La sexualité cesse de satisfaire ses seules envies et besoins et se concentre sur vous et vos aspirations. 
• Il devient facile d’obtenir son attention indépendamment de ce qu’il fait. Si je dis le mot « attention », il déplace immédiatement son attention vers mes désirs. 
• Tous les pans de votre vie sexuelle s’amélioreront significativement. 
• Votre relation et les liens tissés entre vous se renforceront grandement. 
• Il aura beaucoup plus d’énergie : auparavant, il la gaspillait solitairement et sans votre accord, maintenant elle s’accumule à votre profit.
 • Il deviendra plus réfléchi. Non, sérieusement, il le fera. Dans son organisme, une augmentation massive de la dopamine diminuera la prolactine et conduira à une fonction cérébrale accrue. 
• Si je mets sa cage de chasteté sur sa table de nuit, il sait qu’il doit se verrouiller et m’apporter la clef et il le fait instinctivement. 
• Il se dépassera au travail en raison de l’augmentation de l’énergie disponible et de l’amélioration de la lucidité cognitive. 
• Vous constaterez que cela évolue très vite d’un système de punition/récompense vers une recherche d’approbation et d’affection. 
• Quelle meilleure façon de vous témoigner sa dévotion ?

Taquineries 

Quand on dispose d’un homme pris dans un cycle de chasteté-libération, taquiner est l’une des plus amusantes choses, ça vous permet d’exercer votre domination sur lui. Qu’il soit verrouillé ou non, assurez-vous de constamment le toucher, lui tripoter les fesses, qu’il brosse longuement vos cheveux… Penchez-vous en avant devant lui pour ramasser des choses, frottez-vous contre lui. Alors qu’il est verrouillé, allez jusqu’à l’excès avec vos taquineries pour amplifier les effets de la chasteté sur toute sa période d’enfermement. J’aime particulièrement prendre la pose sur le lit, surélevant mes fesses et “me présentant à lui”. Parfois, je dandine mon derrière un peu en sachant très bien qu’il frémit, que ça devient de plus en plus comprimé dans sa cage et qu’il a une furieuse envie d’en sortir. Après l’avoir savamment allumé, prenez soin de demander un massage du dos ou qu’il vous frictionne l’épaule afin qu’il puisse rediriger une partie de cette énergie refoulée vers vous. Façonner votre homme 

2 Enfilez-le ! Je sais. Vous faites déjà cela, mais cette fois, pourquoi ne pas essayer de le laisser en cage si ça n’est pas usuellement le cas ? Fessez-le avant de le faire si vous ne l’avez jamais fait. Faites que ses fesses soient toutes rouges et toutes tendres avant de commencer à cheminer en lui. Taquiner, c’est mélanger les choses. Plus c’est routinier, moins vos taquineries le stimuleront. 

Que ressent-elle durant le pegging ? 
Quand elle vous “prend”, ce n’est pas la sensation agréable de la base du strap-on sur son clitoris qui la fait jouir. Elle peut frotter son clitoris bien mieux et plus vite avec ses propres doigts. Non, elle tire principalement son plaisir en vous pénétrant, en vous “prenant”. C’est là que vos défenses sont les plus vulnérables : enfin battu ! Elle a accepté votre soumission et vous considère comme sa chose. Secrètement, elle espère que c’est inconfortable parce que cela décuple son plaisir. Elle ne cherche pas à vous blesser, ni à vous faire mal, mais elle veut que vous compreniez que vous êtes à sa merci. Elle prend plaisir dans le fait qu’elle pourrait vous faire mal si elle le voulait. Elle veut que vous compreniez qu’elle a le contrôle de la situation. Elle veut que vous sachiez qu’elle choisit d’être douce, mais qu’elle a le pouvoir de décocher une poussée plus zélée et que vous pourriez crisper vos dents jusqu’à l’agonie et même hurler. Quand elle vous demande de vous mettre à genoux et de sucer le strap-on pour elle, elle ne tire aucun plaisir de la pièce de plastique que vous engloutissez. Son plaisir vient des pénis qu’elle a auparavant sucés et du sentiment de domination qui s’est exercé en s’agenouillant devant vous et ses conquêtes précédentes. Façonner votre homme Que ressent-elle durant le pegging ? 

Quand elle entre en vous, elle sait que c’est le moment le plus tendre. Quand vous lui demandez de l’introduire en douceur, elle pense à l’époque où vous avez poussé un peu trop fort, un peu trop vite, et à l’inconfort que ça lui a infligé. Elle pense aux hommes avant vous et au malaise qu’ils lui ont causé. Elle vie cette partie de la relation comme revanche et elle aime follement ce renversement des rôles. Comme pour sa vie sexuelle jusqu’à maintenant, il s’agit d’abuser de vous et de posséder votre esprit, de faire vivre ça à un homme, juste à un homme ! Quelles sensations éprouverez-vous en ayant le rôle soumis durant cet acte qui est usuellement dominé par le mâle ? C’est elle qui détermine la durée, la vitesse, la puissance. Tous les leviers relèvent de sa seule gouverne et c’est seulement quand elle le décide qu’elle se retire et vous annonce que vous en avez terminé pour la nuit. Elle se délecte dans le fait que vous vous sentiez dominé. Vous ressentez comme si vous aviez soumis votre sexualité. Vous n’avez pas les mêmes sentiments de domination et de victoire que vous obtenez classiquement dans la sexualité. Vous ressentez une sensation de plaisir mais vous avez aussi besoin qu’elle vous tienne dans ses bras et vous rassure en vous disant qu’elle vous aime et que tout va bien. Elle va vous pénétrer, elle va en profiter pleinement mais ce sera selon son humeur et ses envies et c’est ce qui rend cette sexualité envoûtante pour votre relation. Elle ne souhaite pas que vous soyez une femme. Elle veut que vous soyez un homme qui se soumet à elle. Elle ne veut pas vous voir en dessous affriolants ou maquillé, elle veut juste que vous soyez à genoux pour elle, pour une fois ! Elle veut changer la dynamique du pouvoir dans votre relation et porter un strap-on est une manière fabuleuse d’y parvenir parce que le pénis est associé au pouvoir. Vous voulez me rendre cette étreinte fantastique ? Complimentez-moi en me témoignant à quel point vous êtes impressionné quand j’enfile mon strap-on. Aidez-moi à resserrer les attaches, à placer, redresser et lubrifier le dildo quand nous nous préparons à jouer. Demandezmoi si je veux que vous le suciez pour moi, comment je veux vous l’enfiler, si je vous autorise à vous toucher pendant que nous jouons – faites-moi sentir que c’est mon moment de plaisir et que vous mesurez que je tiens les rênes. Ne me dites jamais rien qui briserait la dynamique de ce pouvoir. Gémissez bruyamment quand je vous pénètre. « Gasp ! “Soupir” Oh non ! “Gémissement” » Vos petits bruits m’excitent prodigieusement alors surtout, ne les retenez pas. Lâchez prise et endurez comme je glisse à l’intérieur de vous. Dites-moi à quel point mon strap-on est gros, combien il vous distend. Demandez-moi d’être douce, agressive, plus rapide, plus lente. Utilisez tous ces mots. Dites-moi « S’il vous plaît ! ». Quand je me retire, remuez les hanches et poussez le dildo pour moi. Montrez-moi à quel point vous me voulez en vous. Montrez-moi à quel point vous appréciez ce moment ensemble. Remerciez-moi humblement ! 

Locktober : permettre une largesse avant ? Ou pas ?

Pour celles et ceux qui ne connaissent pas encore, une tradition est en train de se mettre en place progressivement dans notre petit monde, le mois de « locktober », désignant le fait de garder son compagnon en cage de chasteté pendant tout le mois d’octobre, sans jouissance ni libération.
Pour ma part, je trouve le moment particulièrement propice : l’été est souvent l’occasion de petits désordres, ou plus exactement de petites largesses permettant de petits désordres. Septembre est donc de ce fait le retour à des conditions plus sérieuses, typiques de la « rentrée » : là où les jeunes font leur cartable, nous remettons en ordre nos cadenas et jouets divers et variés. C’est du reste l’occasion de quelques achats.
Après relâchement, puis remise en route, quelle est la suite logique ? Une phase stricte pour bien remettre son compagnon dans les rails de l’assujettissement à la domination féminine. Je vous le disais, locktober arrive à point nommé.
Il se trouve que mon petit mari était enfermé depuis 6 semaines déjà. Avec quelques petites sorties pour que je puise m’amuser, mais toujours assez brèves, ou dans des conditions compliquées pour lui, mais sans jamais pouvoir jouir in fine.
La question était donc pour moi de le laisser jouir avant le mois d’octobre, ou bien de le condamner à 10 semaines. Ce n’est pas un vrai problème, mais j’aime bien qu’une jouissance redonne un coup de fouet à la libido, et rende ce qui suivra plus intense. Et puis j’avoue, j’avais envie d’essayer un truc …
J’ai installé ce dimanche mon petit mari « en croix ». Au fond du grand séjour, il y a ce qu’il faut pour le mettre en position debout, bras écartés à l’horizontale, et jambes écartées avec une barre sur laquelle j’ai écrit cet article. Je fais en sorte qu’il soit vraiment bien tendu de tous cotés, je sais que ça le mets sous pression, sous MA pression.
Ensuite je lui ai mis mon plug gonflant dans l’anus. Là aussi, j’ai écrit cet article. Mais l’usage que j’avais en tête était assez différent de mes premiers jeu. Je l’ai gonflé légèrement, surtout pour qu’il reste bien en place.

Je suis ensuite venue me placer derrière lui. Entre ma taille et ses jambes écartées, ma poitrine était à hauteur de sa nuque. Je l’ai entouré de mes bras, et lentement bâillonné avec une ceinture de laine. Je devrais dire que j’ai ligoté sa bouche, ce serait plus exact. En étant derrière, j’ai passé le lien derrière sa nuque et ai croisé devant, comme le début d’un lacet, dans sa bouche, en serrant progressivement, la tête calée entre mes bras et mon corps. Une fois le nœud dans sa bouche, 3 tours de lien entourant mes mains de part et d’autre, impossible d’échapper au resserrement progressif, en force. C’est sans danger, et visiblement très désagréable.
J’aime bien sentir le moment où il s’agite parce que ça devient compliqué. Je me plaque encore plus contre lui, je l’englobe, j’amène mon visage vers le sien pour qu’il voie mon sourire, et je continue de serrer lentement. Rien de tel pour qu’il sente que c’est moi qui décide, qui impose, qu’on ne peut pas attendre d’empathie de ma part dans ce moment. Un double nœud et je viens ensuite m’installer devant lui, sur une chaise, pour lui enlever la cage et commencer une toilette à l’eau bien froide.
Je décide qu’il pourra essayer de jouir, et je le lui annonce. Mais écartelé, le plug en place et la bouche ligaturée, je me doute qu’il n’est pas en position idéale pour en profiter, hein.
Je gonfle un peu le plug. J’avais remarqué lors d’autres jeux qu’il y avait deux étapes : le plug un peu gonflé semble appuyer sur la prostate, et créer des conditions propices à une éjaculation, surtout si on agite un peu le tube lentement (à quand un plug gonflant ET vibrant ? Ce serait une arme terrible … ). Lorsqu’on gonfle nettement plus, si j’en crois ce que dit mon mari, la sensation de plaisir potentiel disparaît totalement pour une gêne totale, une sensation d’exploser de l’intérieur, d’une pression énorme et relativement insupportable, ce qui me va très bien habituellement. Mais j’avais envie de chercher le moyen d’optimiser l’utilisation de cet outil. C’est mon coté recherche scientifique … J’aurais pu mettre ce talent au profit de la recherche contre le cancer, j’ai choisi de le faire au profit de la chasteté et la soumission de mon mari. Il fallait choisir hein … Il y avait moins de concurrence 🙂
Donc pour revenir à notre propos, j’ai donc mis le plug en position plaisir potentiel et j’ai commencé à branler mon mari. Mais comme je l’ai quelquefois expliqué ici ou ailleurs, je le branle délibérément trop lentement, avec des arrêts, un peu comme il ne faut pas …
Je dégonfle un peu le plug, puis je le regonfle. La petite molette juste à coté de la poire permet de vraiment bien doser, c’est super pratique. J’approche mon visage, ma bouche, mais je gonfle en même temps, je recommence à le caresser, puis j’arrête. J’étudie les effets, je prends tout mon temps, j’allume une cigarette, puis je reprends… Cette fois pas de chrono pour jouir, pas de « timeboxing », le temps qui passe est mon ami. Ce qui ne m’empêche pas de lui dire de temps en temps en riant que s’il n’y arrive pas ce sera tant pis n’est ce pas, qui finalement ça ne semble pas tellement lui manquer …
Je pense que comme moi, la plupart des femmes ont l’habitude de leur petit « porte-kekette » savent bien mesurer le moment où ça « risque de partir » … Là où autrefois on accélérerait pour le faire aboutir, on fait maintenant l’inverse : on ralentit pour que l’orgasme ne puisse pas avoir lieu. Et puis on reprend lentement pour remonter en pression…
Mon but était simple : l’amener au plus près de l’orgasme, après des petits jeux de ma part, et au moment clé, quand j’ai décidé d’enfin permettre l’expulsion, au moment de l’orgasme, dans la seconde qui précède mais alors que l’orgasme est inéluctable, gonfler le plug pour « ruiner » cet orgasme.
Ça a parfaitement fonctionné. Il faut vraiment bien connaître son partenaire, je le précise. Bien doser, bien trouver le moment clé. Mais dans ces conditions, ce fut un immense plaisir ! Quelque temps après, mon mari a comparé cela à une cri aphone : vous allez pousser un cri, mais aucun son ne sort. Il a eu une éjaculation, mais le fait que le plug soit gonflé a visiblement empêché les spasmes, qui sont avant tout intérieurs. La pression les a rendu impossibles. Il a joui, mais sans spasmes, ni « jet » au sens propre.Une sorte d’orgasme figé en vol, selon ses dires. Une nouveauté. Pour la science …
Il est maintenant remis en cage, et il est prêt pour Locktober …

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