SODOMISER POUR DOMINER


FEMELLE SOUMISE

Une ode à la beauté de la soumission

SODOMISER POUR DOMINER

Il ne s’agit pas de sodomiser pour sodomiser, ni pour mieux sodomiser, mais il s’agit de sodomiser pour que la domination de ma femme soit plus nette. Il n’y a donc aucune préoccupation esthétique, ni volonté de me faire du bien, le but est de graver la suprématie de ma femme. 

Choisir le mauvais moment pour moi.
Exemples : il y a un match de foot à la télé, je suis fatigué, je ne m’y attends pas, je ne me suis pas préparé à l’idée, etc. C’est ma femme qui choisit le moment où elle en a envie et elle me l’impose. Cela induit sa prédominance et ma soumission. L’idée n’est pas d’être pénible, mais de casser une résistance potentielle. Ma femme me sodomise pendant que je passe l’aspirateur dans la chambre à coucher ou que je prépare le repas… et bien sûr je ne m’arrête pas dans mes tâches.

Immobilise-moi ! 
Cela ne veut pas dire obligatoirement que ma femme doit m’attacher mais pour asseoir sa domination elle m’impose une position. Pour que je ne me sauve pas et surtout pour que j’apprécie bien la sensation de mise à disposition, à sa merci. Surtout quand ma femme va abuser de moi.
Le cul tendu et les fesses ouvertes, debout ou à quatre pattes la tête baissée et pourquoi pas dans un coussin. De plus lorsque ma femme ajoute qu’elle ne veut pas m’entendre gémir, c’est le signe pour moi qu’elle va un peu trop loin et que je ne pourrai pas m’y soustraire.

Un harnais serré et plaqué.
Son harnais est serré comme un jean. Les moindres mouvements du bassin de ma femme sont retransmis, au cm près, en moi. C’est elle, sa volonté, ses mouvements, que je dois ressentir.
Oui, que le gode choisi soit gros ou petit, je ne suis pas sodomisé par un gode, mais par ma femme. C’est donc ses mouvements que je ressens. Attention toutefois à ce que je reste « avec ma femme » et non pas que je m’évade dans un fantasme qui tourne autour de la sensation anale.

Bien choisir le Gode.
Il faut que ce soit juste un peu plus gros, ou long, que supportable. Douloureux au début puis pénible et difficilement supportable. Ma femme m’impose régulièrement la sodomie un peu plus violemment et longtemps. L’idéal c’est que son gode qui comme à l’habitude passe difficilement, se fraye son chemin dans la douleur, ce qui permet à ma femme d’imposer sa volonté.

Plaque-toi sur moi 
Ma femme fait en sorte que son gode lui permette de se plaquer contre moi pour que je sente sa présence et que son gode est son prolongement. Si je bouge, elle appuie de tout son poids. Je ne dois pas pouvoir « m’évader » de l’emprise de ma femme.
Cela suppose qu’elle rentre son gode complètement, même si ce n’est que temporairement. Ainsi ma femme peut plaquer son bassin pour me le signifier, que je sente que c’est la conséquence de sa volonté et de son désir. Si j’ai du mal à le supporter, ma femme reste en place, bien contre moi, pour me montrer sa suprématie. Puis quelques secondes après elle recommence à m’enculer.

Fais durer trop longtemps 
En principe ma femme sent quand je n’en peux plus. C’est le moment qu’elle choisit de continuer malgré mes plaintes ou suppliques. C’est là que s’imprime le fait qu’elle décide, impose, inflige.
Ma femme peut aussi faire une pause au moment où je pense que c’est terminé. Elle se retire violemment et m’ordonne de rester en position sans bouger. Elle va boire un café ou autre chose et revient ensuite reprendre les activités. Souvent ma femme en profite pour m’enfoncer un gros plug métallique avant de me fouetter.

Affiche ton intention.
L’après-midi ma femme prépare sa soirée, elle se penche à mon oreille avec sensualité et sourire, et me dit :
- Dès qu’on rentre, je vais te sodomiser bien comme il faut.
Dès lors, elle me domine déjà. Il y a plein d’autres exemples qui lui permettent d’afficher ses intentions. Des SMS salaces envoyés pendant la journée, ou lorsqu’elle me caresse les fesses en insistant sur l’anus tout en m’obligeant à ne pas bouger. L’idée ici est de faire prévaloir sa décision. C’est aussi l’occasion pour elle d’être particulièrement sensuelle, le paradoxe est une arme. L’introduction d’un plug est aussi un moyen pour elle de me tenir en condition.

Joue des mains ! 
Varie tes positions de mains et tes gestes : sur mes fesses, tenues aux hanches, aux épaules, tapes ou gifles sur les joues, sur les fesses, prise de la nuque d’une main, etc. Le but pour ma femme est que je la sente partout, dedans, sur la peau, active et dominante. Rien de vraiment nouveau mais une technique pour intensifier sa présence pendant la journée en attendant l’action.

Pense aux préliminaires ! 
Je suis à genoux, la tête maintenue, la « petite pipe » préalable imposée par ma femme qui doit se faire les yeux dans les yeux pour bien me soumettre. Ordonne les détails : langue sortie, fellation soignée, murmures d’impatience. Oscille lentement du bassin. 
Il me semble que c’est important, une femme comprend l’intérêt des préliminaires. Trois choses sont intéressantes à ce stade :
Ma femme exige que ma petite gâterie soit soignée et me force à avaler toute la longueur de sa bite.
Ma femme m’obliger à la regarder pour m’humilier encore un peu plus.
Ma femme se moque gentiment de moi avec quelques termes crus ou dégradants.

Un petit tour par la prostate 
Vers la fin de séance, ma femme redresse sa bite vers le haut et n’enfonce que 6 à 8 cm. Masse lentement de haut en bas ma prostate. Si j’ai bien été « chauffé », je peux y perdre mon sperme sans orgasme, même en cage de chasteté. Si elle a l’intention de faire ensuite une petite traite, c’est un excellent préparatif. Il faut vraiment veiller à ne presque pas rentrer, pour que l’arrondi du gode caresse bien la prostate. Le mouvement doit être lent et bien vertical.

Faites-moi tout préparer 
Ma femme me fait tout chercher. Le ou les godes bien présentés, les harnais, le gel, les plugs, les cannes, etc. Et elle me regarde faire en faisant des réflexions triviales sur mon cul de pédé ou de salope. Je dois tout préparer avant et tout nettoyer après. Artisan de mon propre supplice. C’est pour ma femme l’occasion de donner quelques ordres associés. Je peux également lui présenter le harnais, le gode, l’aider à l’enfiler et montrer ma soumission et mon acceptation de ce qui m’attend.

Faites-moi verbaliser 
Que ce soit vrai ou pas, ma femme me fait avouer que j’ai envie qu’elle me remplisse le trou du cul, que j’espère que ce sera long et pénible. Elle me le fait dire à des moments inappropriés, les yeux dans les yeux, par soumission, et à chaque fois elle me ridiculise. Si je résiste à la verbalisation, ma femme commence par me faire avouer que la perspective d’être sodomisé m’excite, même si je le crains. Puis que l’idée me plaît, puisque ça m’excite. Que j’espère que ça va lui plaire aussi, ce qu’elle me confirme, donc je dois lui demander, la supplier afin d’être sodomisé.

Jouissez ! 
Le fait que ma femme jouisse en me sodomisant est porteur d’un cruel message : l’association jouissance et sodomie dominante va forcément s’installer comme relation sexuelle majeure, et moi en cage je n’ai plus qu’à espérer un peu de pitié. Il est conseillé à ma femme d’avoir déjà joui une fois au moins avant de commencer à m’enculer. Pour cela il lui suffit de m’amener à lécher avec délectation sa chatte et de faire la petite chaise sur mes fesses.
A propos de jouir en sodomisant, pourquoi ne pas utiliser de temps en temps le double gode. Celui qui nous pénètre tous les deux. Il est pratique pour la sodomie surprise, dans un lieu inhabituel mais surtout avec l’habitude, c’est l’orgasme assuré. Une, deux, trois… Si en plus ma femme m’a mis en cage, je sais que la fête va être longue et agitée, même si ça lui prend dans le jardin. Ce gode double est très adapté à la prise rapide sans préliminaires et une femme se sent tellement mieux après.

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