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GODE AVEC OU SANS HARNAIS

LE PEGGING
La peur de l’humiliation du mâle 

La notion de "pegging" ou sodomie avec un gode-ceinture permet la pratique de l’humiliation du mâle et c'est vrai que cela fait partie des pulsions que la femme peut découvrir en le pratiquant. Comme on le devine, on touche ici à des choses très intimes. Pour beaucoup, le pegging va révéler le désir plus ou moins fort de dominer ou de se soumettre, de voir la femme prendre le pouvoir ou au mâle de se faire humilier par un acte fort de soumission. Le paramètre qui oriente la nature des jeux érotiques réside précisément dans la dimension plus ou moins humiliante que l’on associe à la sodomie du mâle par la femme.
Mettre son mâle en cage est une autre humiliation qui a comme la sodomie une symbolique très forte.
Le pegging et les peurs qui gravitent autour (2/2) :
Le pegging est une pratique dégradante pour le mâle, une punition et une négation de sa virilité. Mais que la femme se rassure, elle donne du plaisir au mâle en l'enculant. De plus la sodomie fait vivre à la femme une dimension plus fantastique à sa sexualité. 
Force est de constater que l’enrichissement des jeux érotiques provoqué par la pratique du pegging et la confrontation directe avec ce qui tourne autour de la Domination/Soumission amplifient la relation. La sodomie du mâle par la femme donne une place de choix à l’humiliation qui est d'une intensité exceptionnelle.
Aussi, attirée par cette pratique de la sodomie, la femme va découvrir tôt ou tard la possibilité et le désir d'humilier son mâle.

Le pegging et les peurs qui gravitent autour (2/2) :

La femme comme le mâle ressentent ce besoin de manière très marquée. Au début, la femme peut trouver cette pratique quelque peu effrayante parce qu’elle révèle la nature de la relation dans le couple et amène à la projeter dans des scènes d’humiliation. 
Puis elle apprend à relativiser et à mettre cela en perspective avec ce qu'on entend quotidiennement sur le harcèlement que vit la femme.
Le pegging et les peurs qui gravitent autour (2/2) :

Sans dire que la femme a en elle un besoin de vengeance, on comprend que le désir de l’humiliation du mâle peut être défoulant. Et surtout, lorsqu'on cerne mieux pourquoi un mâle se plie à cette volonté jusqu’à l’extrême. Cette relation SM bascule le couple dans un rapport unique. Il s’agit pour ainsi dire de reculer les limites du possible. Et plus la femme va loin dans cette direction, plus le mâle prouve son asservissement à elle jusqu’à nier ce qu’il est censé être. Ce qu'on trouve effrayant au départ lui confère alors une forme de beauté à l’obtenir d’un mâle. Il prouve ainsi sa dévotion à l’égard de la femme qui devient une sorte de reine absolue et capricieuse qui a trouvé la victime parfaite pour défouler ses pulsions les plus secrètes de sadisme, de domination et de vénération.
Mais il y a une responsabilité, qui est très grande, pour cette femme autour de ce qu’elle va faire vivre à son mâle. Il est évident que la sodomie est l'acte sexuel humiliant par excellence pour le mâle qui accepte d’être rabaissé au plus haut point, qui en a trop envie et attend de sa dominatrice d'être traité comme une chienne. Et quelque part, la femme obtient la légitimité de sa domination justement avec la pratique du pegging, puisque le mâle lui demande de prendre sexuellement sa place. Et puis, la femme veut garder en face d'elle un mâle soumis, une femelle parce que sa sexualité se bonifie par la pratique du pegging et des jeux de D/s.

Le pegging et les peurs qui gravitent autour (2/2) :

Le mâle sait qu'il a des limites lorsqu'il n'est pas complètement à l’aise avec la sodomie. Mais comme il sent que cela peut renforcer la complicité avec sa Maîtresse, il sait que l’enjeu en vaut la chandelle.
Le mâle se tient alors en quelque sorte à disposition de la Dominatrice qui teste de nouveaux jeux quand l’envie lui prend. Il sait aussi qu’elle explore des pratiques qu'il lui sont interdites de refuser.
La femme voit alors les étranges pulsions que ressent son mâle à s’humilier de la sorte. Il y a une forme de négation du poids que la société veut faire endosser au sexe masculin et également le besoin de trouver ses propres limites. Et puis, il trouve que vivre avec une femme qui lui donne ce désir a quelque chose de fascinant. C’est une forme de don dans le couple que chacun fait à l'autre. Et en même temps, le mâle éprouve un plaisir certain à sortir de la norme sa relation avec une femme dominante et à vivre cette négation de son être et de sa masculinité. Ce qui est attirant, c’est la complétude manifeste entre la femme et son mâle ; chacun y trouve son compte et trace son chemin avec l’aide de l’autre. Il s’établit une sorte d’harmonie paradoxale.
Le pegging et les peurs qui gravitent autour (2/2) :

Le pegging amoureux à partir de la sodomie et de l'humiliation du mâle permet au couple de tisser des liens plus forts autour de sa complicité. Juste pour dire qu’il ne faut pas fuir le pegging même si l’humiliation du mâle effraie quelque peu la femme.
Le pegging et les peurs qui gravitent autour (2/2) :


FEELDOE TANTUS 
LA RÉVOLUTION DU GODE SANS HARNAIS
Pourquoi utiliser un gode sans harnais ?

"C'est comme avoir une bite". C'est la transgression d'un tabou, d'un interdit, l'excitation est plus forte, le plaisir est décuplé. Sans lui, la femme trouverait peut-être moins leur compte dans cette pénétration. Une femme dominatrice aime que son mâle se laisse faire. Il ne doit pas la toucher et cela lui procure énormément de plaisir. C'est très psychologique, à la fois un mélange de transgression et la vue du cul de son mâle dans un contexte un peu hard.  


Cette inversion des rôles a eu un petit goût de revanche sur la relation entre la femme et le mâle. Dans la vie de tous les jours, c'est plutôt le mâle le boss. Là, la femme a le pouvoir son mâle est à sa merci, jambes écartées, cul tendu devant elle, les yeux fermés, en train de jouir comme jamais, dans une forme de don de soi. C'est pour la femme comme avoir un pouvoir, le plus grand des pouvoirs. 
Une petite histoireJ’aime le voir perdre la tête lorsqu'il me lèche la chatte. Je sais qu’il y a là une source de plaisir dont je ne soupçonne pas les limites. Je glisse un doigt dans sa raie. Il enfonce sa langue dans ma chatte avec un gémissement. Très excitée, je me redresse et le prend par les hanches, sans un mot, je le bouscule un peu pour lui faire comprendre qu’il doit se mettre en levrette. Il obéit. Je me dit alors qu’il n’attend que ça en fait ! A genoux derrière lui sur le lit, je joue avec mes doigts autour de son trou du cul. Je passe un coup de langue sur sa rosette. Je fouille de l’index, puis j'ajoute deux, trois autres doigts et son œillet se ferme. J’attends qu’il se détende en caressant ses fesses de ma joue, en dessinant des huit avec ma langue sur sa peau brûlante. Il a la chair de poule et finit par s’ouvrir sous ma main. Je la mouille avec ma salive car ça a du mal à glisser et je ne veux pas perdre le peu de terrain que j’ai gagné. Si j’enlève mes doigts, il va peut-être vouloir arrêter. Je me doute bien qu’il a un peu honte, comme ça, à quatre pattes, la tête basse dans l'oreiller comme une salope. Mais son gland laisse filer du jus dans ma paume. Mon chéri mouille comme une fille ! J'ouvre ses fesses avec le pouce de la main qui le pénètre déjà avec les autres doigts, je fais couler de la salive sur sa rosette et je touille du pouce, pour que ça lubrifie l’intérieur. Je sens, par-dessus l’odeur musquée de ses couilles, celle de son cul, plus poivrée. Ça m’enflamme et j’ai envie de l’enculer à fond
Sur la table de chevet, une bougie blanche éclaire la chambre d’une lumière romantique. Il y en a d’autres, toutes neuves, dans le tiroir. Quand il m’entend l’ouvrir, son cul se contracte désespérément sur mon doigt. Je comprends qu’il a songé aux bougies bien avant moi, qu’il craint ou peut-être désire que j’y pense aussi. Il n’oppose aucune résistance. Je tente de faire glisser la bougie le long de mes doigts pour que son trou n’ait pas le temps de se refermer, mais je n’y arrive et tout est sorti : doigts et bougie. Je suis à nouveau face à sa rosette à peine froissée. Il faut tout recommencer. Je suis si excitée que je n’ai plus de patience. Je dis sèchement : "Je te crache dans le trou et je vais te le défoncer !" C’est ce que je fais, j'enfonce fermement ma main entre ses fesses écartées. Un tremblement violent lui secoue tout le corps. Je sens sa queue se tendre et se durcir légèrement dans ma main et il jute comme jamais je ne l’ai vu faire, longtemps, longtemps, avec des gémissements rauques venus de loin. Quand les contractions du plaisir éjectent ma main de son cul, on dirait qu’elle est passée par les flammes de l’enfer : elle est toute rougie. Je vais vite chercher mon gode ceinture et j'encule mon mâle pour la première fois !
Je jouis comme jamais ...

Ceci est une vidéo présentant le "jouet"

Ces godes ont été conçus pour les jeux entre femmes, mais ils sont parfaitement efficaces pour pénétrer le mâle soumis analement.
Le double gode a une forme anatomique qui permet un triple effet.
★ D'une part, sa forme en bulbe permet au gode d'être retenu par les muscles du vagin et permet donc de l'utiliser sans harnais.
★ Deuxièmement, il stimule le point G par sa forme en crochet.
★ Troisièmement, il stimule le clitoris lorsqu'il pénètre le mâle.
Une image vaut mille mots:


Les sensations procurées par ce type de gode sont uniques.
★ Tout d'abord la sensation de naturel en n'ayant pas à porter de harnais (certains harnais sont particulièrement inconfortables)

★ Deuxièmement, le contact avec le couple est total permettant un frottement direct du bassin et pubis de la femme aux fesses du mâle qui ressent l'intensité des assauts de la dominante.
★ Troisièmement, il permet la mise en place immédiate de la sodomie lorsque c'est nécessaire. La femme peut le mettre en deux secondes et pénétrer le mâle immédiatement sans mettre ni ajuster de harnais.
La domination féminine est plus naturelle et le succès de cette "bite" dépend de la capacité de la femme à retenir le "gland" avec les muscles de son vagin. Super exercice !


Pour cela, un peu de pratique peut être nécessaire bien qu'il peut toujours être aidé au début par un harnais avec bague, un pantalon avec la braguette ouverte, une culotte, une ceinture ou tout autre vêtement qui permet de maintenir la bite en position.


Il existe différentes tailles et couleurs et une version de couleur chair appelée Real Feel.
Le Feeldoe permet à la femme de se masturber de nouvelles façons comme par exemple :

Il existe de nombreuses vidéos de domination où la femme utilise un harnais avec gode pour enculer son mâle.
Malheureusement, ces vidéos laissent beaucoup à désirer, car elles répètent les erreurs du porno commercial où le sexe est mécanique, voir morbide et sans émotion.

Dans cette vidéo au cadre très suggestif et mystérieux, montre la femme prendre le contrôle total de la situation et le mâle se soumet agréablement à cette domination.
La femme joue avec la bouche du soumis et le baise en poussant, lui faisant bien comprendre qui se fait enculer.
Le soumis attrape la femme dominante par les fesses pour mieux ressentir la pénétration avec un geste typiquement féminin dans les relations traditionnelles.
La vidéo transmet les émotions de la domina et de la femelle et elle est très sensuelle montrant l'inversion des rôles avec la sensualité qui s'éveille.
Une vidéo beaucoup plus hard avec un gode plus grand et des assauts violents ...

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