DRESSER SON MARI




Dans un couple FLR (Female Led Relationship), c’est la femme qui décide de tout. Ainsi, vous n’avez pas à être une« Dominatrice en cuir et fouet » ou tout autre Femme pour votre compagnon. Soyez juste vous-même et entraînez votre compagnon à être le genre d’homme que vous désirez. L’avantage d’avoir un homme soumis est qu’il est le meilleur des deux mondes pour une femme. Il peut être masculin parfois, et peut être une gentille petite soumise d’autres fois.



Vous pouvez dresser votre homme à être exactement comme vous le souhaitez. Si vous le désirez très masculin, alors il suffit de le dresser ainsi. Il agira en homme la plupart du temps, et peu suspecteront qu’il est un mâle aussi soumis. Cela rajoute souvent à l’excitation de savoir que sur un simple ordre de votre part, il tombera à genoux à vos pieds et sera prêt à faire tout ce que vous lui ordonnerez, en privé bien sur.



Vous pouvez aussi le féminiser. Il faut savoir que plus un homme est très masculin, plus il est amusant de le féminiser. Vous pouvez le vêtir de lingerie féminine, le maquiller puis le prendre avec votre gode ceinture. Il deviendra alors totalement soumis devant vos yeux et vous pourrez faire ce que vous voulez, il ne pourra résister. Vous avez juste besoin d’entraîner votre homme à agir en homme la journée, mais à être doux et humble envers les femmes et docile envers vous. Cependant, il ne s’agit pas d’une obligation. Ne lui faites porter des dessous féminins que si vous le désirez.

Vous pouvez aussi, l’autoriser à s’habiller comme un homme dans la vie quotidienne et à faire des choses masculines s’il le désire, le sport, la pêche, ou tout autre loisir. Ainsi, faites-le aller à la gym et travailler son corps. Cependant, à la maison, il devra toujours être prêt à porter le tablier, la lingerie, et à vous servir en tout. Vous le contrôlez totalement et si jamais vous décidez de le féminiser totalement, vous pouvez. C’est tout à fait comme vous voulez.

En fait, beaucoup de femmes dominantes désirent que leur homme soit toujours très féminin. Elles ne veulent plus voir un seul trait du macho ou de masculinité sur lui, alors elles le dressent en conséquence. Alors que d’autres veulent un homme masculin parfois et une servante soumise d’autres fois.

Personne n’a tort ou raison. Cela dépend totalement de vos besoins et désirs. Alors dressez votre compagnon à être comme vous le désirez, dans votre couple FLR. Après tout, vous êtes celle qui vit avec lui.

Devenir la Déesse ultime l’apparence


Devenez une Déesse parfaite !

Dans cette série, je vais vous guider pour devenir une Déesse parfaite. Suivre ce guide sera une bonne chose, mais il faudra aussi y mettre du sien. La domination n’est pas à sens unique. Votre soumis fait tout pour vous, mais vous devez en faire autant en réalité. On a souvent tendance à penser que le soumis est un larbin qui fait tout ce que vous ne voulez pas faire, mais c’est faux. Les meilleures maîtresses passent un temps fou à faire le nécessaire pour plaire au soumis. C’est juste pas fait de la même façon.
Prenons mon exemple. J’aime repousser les limites de mon fiancé (jusqu’au sang ou aux vomissements). Mais pour que ça soit correctement effectué, il m’a fallu un entraînement monstrueux. Juste pour apprendre à manier correctement le fouet, il m’a fallu plusieurs mois, de sorte à pouvoir savoir exactement où frapper pour maximiser la douleur sans que ça soit irréversible ou désagréable à souhait, pour connaître le timing parfait, savoir si il faut que je m’arrête vraiment, etc… Donc au final, si vous ne décidez pas de faire des efforts, vous serez une maîtresse nulle.
Votre esclave doit être comblé et satisfait de vous, et cela passe par plusieurs étapes, dont votre apparence. Cela n’est évidemment pas sans concession, si vous voulez atteindre votre forme parfaite.

Soignez votre apparence !

Vous vous êtes sûrement déjà toutes posées cette question : « Que mettre pour avoir l’air d’une puissante Déesse, que mon homme vénèrera tout le temps? »
En effet, l’apparence est pour moi la première chose à devoir prendre en compte si vous vous lancez dans une relation de domination. Etre en permanence parfaite et attirante va vous rendre davantage désirable. Le pauvre homme enfermé dans sa cage de chasteté (si vous en utilisez une) n’en sera que frustré. Si vous n’en n’utilisez pas, il se branlera en pensant à vous, et vous envahirez mieux son esprit. Et puis, quel homme désire une femme qui reste en pyjama toute la journée et se laisse aller ?
De plus vous avez sûrement déjà remarquées le nombre hallucinant de vêtements fetish sans savoir où commencer. Ne vous en faites plus, vous allez avoir l’avis d’une grosse fétichiste (moi, évidemment o/ ) pour savoir quoi faire.

Commencez par vous sculpter un corps de Déesse !

Dites vous bien un truc : vous n’êtes pas obligée d’être un missile. De base, un esclave vous a choisi parce que vous lui plaisez un minimum physiquement. Ne commencez pas à faire de la chirurgie juste parce que vous n’avez pas de poitrine par exemple 😡
Par contre, cela ne vous empêche pas de faire des efforts pour booster justement son désir envers vous. Pour commencer, si vous êtes un peu ronde mais que ça lui plaît et que vous assumez, restez comme vous êtes. Vous devez avant tout vous sentir bien dans votre peau. Mais justement, si vous complexez car vous avez des kilos en trop, faites du sport. A l’inverse, si vous êtes normale, faites en aussi (mdr). Pourquoi?
Parce que les hommes adorent tous les corps parfaits. Le sport vous détendra, vous gagnerez en force (très utile quand on veut dominer), en confiance, et votre corps sera modifié. En faire régulièrement va sculpter vos jambes, votre fessier, votre ventre. Même si ça ne sera pas forcément un rendu incroyable, c’est toujours ça de pris et l’effet est garanti. 30 minutes par jour suffisent amplement ! Votre homme ne sera que satisfait de vous voir devenir au fur et à mesure du temps aussi bien structurée que les femmes dont il rêve tant. Il n’en deviendra que davantage soumis 🙂

Osez les habits fétichistes !

Je parlerais de façon plus détaillée de ce genre d’habits et des accessoires dans un article dédié. Ici, c’est juste pour vous donner une idée !
Ce point est assez important. Comme je l’ai souligné plus haut, il y a énormément de choses que l’on peut porter pour avoir l’air d’une déesse. Avant tout, il faut que vous vous sentez bien dans ce que vous portez. Donc, évitez de vous forcer si ça ne vous plaît pas ou si vous trouvez ça désagréable. Mais de toute façon, vous serez obligée de faire des concessions sur certains points
Déjà, il y a le latex. C’est très beau, ultra sexy, et met en valeur tous vos atouts. SAUF QUE, par rapport à ce qu’on peut penser, ça ne va pas du tout à toutes les femmes. Vous allez avoir l’air d’un saucisson si vous en mettez alors que vous avez trop de formes, ou ça va avoir l’air très étrange si vous êtes trop fine. De plus, sachez que c’est hermétique : vous allez suer comme jamais la dedans. La sensation de cette matière sur la peau est très spéciale aussi.
Alors autant dire que si vous trouvez ça désagréable, évitez d’en porter ! Malgré tout, vous pouvez quand même essayer quelques pièces qui vont à peu près sur tout le monde : je recommande aux débutantes du latex : l’ensemble jupe crayon + bas un peu transparents.
Si vous appréciez et en portez souvent, je peux vous assurer que votre soumis va mourir d’envie de vous toucher. Interdisez lui, et vous verrez comment il sera docile 😉
Sinon, il ya le cuir, symbole de la dominatrice. Pas besoin d’être intégralement recouverte, une seule pièce suffit. Une jolie jupe longue ou une robe ou vous vous sentez à l’aise sera parfaite. Evidemment si il fait chaud, évitez :c

Apprenez à marcher en talons hauts !

Ils sont INDISPENSABLES  pour compléter une tenue. Evidemment, toutes les femmes ne savent pas forcément marcher avec, mais il va falloir vous y habituer. Les talons donnent de la prestance, élancent les jambes et la silhouette, et donnent un côté puissant. Si vous ne savez vraiment pas marcher avec, entrainez vous !
Commencez à 10cm, et montez au fur et à mesure. Vous finirez par vous y habituer. Au début je galèrais avec à peine 11cm, et aujourd’hui je peux courir avec des talons avec plateformes de 26cm. Tout dépend de votre motivation !
D’ailleurs, vous pouvez juste vous en servir comme accessoire. Les talons ultra hauts, comme ceux ci dessous,  ont un effet dévastateur si vous savez marcher avec, mais si ce n’est pas le cas, vous pouvez juste les porter quand vous êtes assise. Votre soumis vous tournera très souvent autour, vous verrez.
Les bottes aussi sont intéressantes à porter, mais pas toujours très pratiques au quotidien malheureusement. Cela peut être davantage plus pratique en guise de récompense parce qu’il s’est bien comporté, ou pour compléter une tenue de maîtresse en vue d’une session.
Bien évidemment, je parle de ce genre de bottes :p

Maquillez vous correctement !

Vous devez avoir l’air sexy sans être trop vulgaire et sans que cela vous prenne trop de temps. Un peu d’eyeliner et des « smoky eyes » pour donner un air mystérieux et sublimer vos yeux. Vous pouvez aussi mettre du rouge à lèvres rouge. Personnellement, je n’en suis pas forcément fan, mais c’est toujours un must have pour une dominatrice. En ce qui concerne vos cheveux, gardez les longs et ne les attachez pas. Tout les hommes préfèrent les cheveux longs et soyeux. Si l’envie vous en prend, vous pouvez aussi faire une teinture. J’ai une permanente rouge et noire, et ça donne un air à diabolique à votre tenue.
En tout cas, n’en mettez pas des couches, ça fait très bitchy et peu élégant.
Si vous en avez le courage, essayez aussi de garder vos ongles un minimum longs. Vos mains sont l’un de vos outils principaux, elles se doivent d’êtres parfaites et irréprochables.  Rien de mieux que de caresser un peu votre soumis juste du bout des ongles. Très utile aussi pour le punir, héhéhé.

Sentez vous A L’AISE !

La condition finale est, comme je l’ai dit plusieurs fois, que vous vous sentez à l’aise. Ne vous forcez pas, n’essayez pas d’en faire trop. Vous devez rester désirable mais pas devenir une pute ou une dominatrice clichée, c’est à dire recouverte de la tête aux pieds de cuir, alors que ça ne vous va absolument pas. Sans vous mentir, seules celles équipées du meilleur corps peuvent se permettre de mettre du super moulant intégralement comme ça, alors soyez maline. Vous pouvez juste rester élégante. Ne soyez juste surtout pas négligé. Si besoin, demandez lui de vous faire vos ongles, de laver à la main vos vêtements, de vous faire tous les soins nécessaires. Il sera ravi de vous servir, et vous lui plairez davantage !
Voilà ci dessous un petit exemple assez osé, mais ultra efficace



Alice, jeune dominatrice, choisit son esclave

Alice s’approcha de la baie vitrée et des cellules qui étaient derrière. A son arrivée, certains jeunes garçons levèrent timidement les yeux. Leurs pénis se mirent à gonfler doucement, puis à se durcir et à se dresser harmonieusement, pointant vers le plafond. Devant toutes ces bites dressées et tremblantes, Alice se sentit fondre. Cette jeune dominatrice avait envie de tous les acheter et d’en faire un gigantesque harem d’esclaves. Mais elle s’était fixé un budget à respecter et ne comptait acheter qu’un jouet. Peut-être plus tard déciderait-elle d’adopter un deuxième esclave, voire un troisième… Si le premier lui donnait entière satisfaction.
La femme marcha d’un pas lent, inquisiteur, longeant les cellules. Son regard s’arrêtait parfois sur un garçon particulièrement mignon. Finalement, après une inspection de plusieurs minutes, elle finit par arrêter son choix sur un jeune homme brun, fin et à l’allure athlétique, au visage absolument magnifique.
-Celui-là, dit Alice. C’est lui que je veux.
-Le numéro H-455 ? fit Sylvie. Vous avez du goût. Je vous le sors tout de suite.

Présentation de l’esclave

Sylvie sortit une télécommande de sa poche et appuya sur un bouton. Le filin plastifié accroché au mur se détacha et le sol de la cellule du garçon se mit à s’enfoncer dans la terre. Bientôt, l’esclave disparut tout à fait. Alors, avec un vrombissement, le sol devant Alice s’ouvrit et l’esclave en sortit, toujours agenouillé sur une plateforme métallique.
Sylvie se pencha en avant et lui ôta brutalement son bâillon pour qu’Alice puisse contempler son visage dans sa totalité. Elle lui retira aussi ses menottes et son collier.
-A quatre pattes, ordonna-t-elle à l’esclave d’un ton qui n’avait rien de doux ou d’amical. Présente nous ton cul, bien haut, et écarte les fesses !
Le jeune garçon obéit et dévoila son trou du cul à sa future propriétaire. Alice se pencha un peu et inspecta l’anus de son esclave. Satisfaite, et lui ordonna de se tourner et de lui montrer son pénis. Elle le caressa un peu et apprécia les légers gémissements que poussa le garçon lorsqu’elle le toucha.
-L’esclave est fourni avec du matériel, expliqua Sylvie. Il vous sera livré avec lui, directement à domicile.
-Quel sera ce matériel ?
-Trois colliers en cuir, dotés d’un système électronique permettant d’infliger des décharges électriques à volonté via une petite télécommande. Trois laisses de différentes longueurs. Une variété de gods et de godes-ceinture, de plusieurs largeurs. Des plugs. Un fouet, un martinet et une cravache. Et enfin, un gag-ball et un bandeau pour les yeux.
-Parfait. Quand recevrai-je l’esclave et le matériel ?
-Dans trois jours exactement, nous espérons que vous en serez satisfaite.

Livraison de l’esclave

Trois jours plus tard, Alice se réveillait à peine quand on sonna à sa porte. En chemise de nuit, encore ensommeillée et n’ayant pas pris son petit déjeuner, Alice ouvrit sa porte et trouva sur son pallier une jeune femme en uniforme, assez semblable à Sylvie mais plus vieille et aux longs cheveux blonds. A ses côtés se tenait l’esclave qu’Alice avait acheté. Il tenait dans ses bras un carton qui contenait sans aucun doute le matériel décrit par Sylvie. Il était déjà équipé du gag-ball, bien enfoncé dans sa bouche.
Alice eut à régler encore quelques détails administratifs et signer deux-trois papiers avant de pouvoir faire rentrer l’esclave chez elle.
-Souvenez-vous, dit la livreuse avec un grand sourire, officiellement votre esclave n’est pas un humain. Il bénéficie devant la loi du statut de simple objet. Vous êtes libre de lui faire subir ce que vous désirez.
Une fois que toutes les explications lui furent fournies, Alice ferma la porte et tira l’esclave jusqu’à son salon par la laisse qui pendait à son cou, elle-même fixée à un collier en cuir qu’on lui avait attaché autour de la gorge.
L’esclave était bien entendu totalement nu. Alice le fit se placer au milieu du salon et le contempla. Voilà, cette jeune dominatrice possédait un esclave. Un serviteur sexuel. Un jouet dont elle pouvait user comme elle le désirait, sans égard pour lui et ses sentiments. Elle aurait pu le torturer si elle l’avait voulu, rien ne le lui interdisait. Peut-être se ferait-elle plaisir de ce côté-là un peu plus tard.
Pour l’instant, elle avait des tas de choses à essayer.
-A genoux, ordonna-t-elle à l’esclave en adoptant un ton autoritaire et froid. Saches que ce sera désormais ta position de prédilection. Lorsque je n’ai pas besoin de toi et que je ne t’ai donné aucune tâche à effectuer, c’est comme ça que tu passeras le temps, c’est clair ?
Le jeune garçon hocha la tête, docile. Son gag-ball le privait de la possibilité de parler.

La dominatrice fixe les règles

-Je vais instaurer quelques règles de base tout de suite, afin que tu les aies en tête pour le reste de ta vie. Première règle : La seule façon de te déplacer qui t’es autorisée, sauf ordre particulier de ma part, est à quatre pattes comme un chien. Tu n’as pas le droit de te mettre debout ou de t’asseoir quelque part. Je considère que ces deux positions sont réservées aux humains. Deuxième règle : Il t’est formellement interdit de prendre la parole, sauf si je te l’autorise expressément.
Je te veux absolument silencieux, comme si tu étais un meuble. Si tu as quelque chose d’urgent à me dire, ou une question importante à me poser, agenouille-toi en face de moi et embrasse le sol pour me le signifier. Tu devras cependant attendre que je t’en donne l’autorisation pour t’exprimer. Troisième règle : Lorsque tu t’adresseras à moi, tu m’appelleras Madame. Rien d’autre, sauf si je te demande de m’appeler Maîtresse ou Votre Majesté dans le cadre de jeux de rôles sexuels.
Quatrième règle : Concernant tes repas, je te préviens tout de suite, je ne compte pas dépenser de l’argent pour te nourrir avec des aliments humains, sauf situations particulières pour te récompenser. Tu auras droit à deux repas par jour : Un le matin et un le soir. Je déciderais à ce moment-là de te nourrir avec mes odeurs corporelles ou mes fluides naturels, à voir. Cinquième règle : Tu feras tes besoins une fois par jour, le soir, sous ma surveillance.
Sixième règle : Tu t’en doutes bien mais il t’est formellement interdit de te masturber ou de prendre du plaisir d’une quelconque manière sans mon autorisation. »

Esclave Biscotte !

Alice, jeune dominatrice, fixa son esclave un moment. Il avait l’air de bien assimiler ce règlement.
-Ces règles sont définitives et ont peu de chance de changer, dit Alice. Enfreindre une de ces règles te vaudra une punition extrêmement sévère que tu n’as vraiment pas envie de connaître, crois-moi. On t’a peut-être entraîné à résister à la douleur mais je suis capable de choses que tu ne t’imagines même pas. Il m’arrivera de te faire souffrir pour le plaisir, mais sache que jamais cela ne s’approchera, en terme de pénibilité, des corrections que je te réserve en cas de désobéissance. Est-ce bien clair ?
Le garçon hocha la tête.
Alice sourit, un peu attendrie, et se pencha pour ôter le gag-ball de la bouche de son esclave.
-Désormais tu t’appelles Biscotte, dit-elle. J’avais un chien qui portait ce nom, il y a longtemps. Tu me le rappelles un peu. Tu répondras donc à ce nom, à partir de maintenant.
Voyant que l’esclave gardait le silence, Alice se rappela de la deuxième règle qu’elle avait fixée.
-Oh, tu peux parler à partir de maintenant et jusqu’à ce que je t’indique le contraire. Compris ?
-Oui Madame, compris.

Utilisation de l’esclave

Comme tous les matins, Alice, belle domina, avait particulièrement envie de faire pipi. Son esclave lui avait été livré pile au bon moment. Elle le saisit par la laisse et le traîna derrière elle jusqu’à sa salle de bain. Biscotte l’y suivit à quatre pattes, comme un bon chien.
-Entre dans la baignoire. Depuis combien de temps n’as-tu pas été nourri ?
-Depuis hier, Madame.
-Tu dois être affamé. Voilà ton premier repas.
Le jeune garçon se positionna à genoux dans la baignoire, la bouche ouverte. Alice saisit la tête de l’esclave et la pressa contre son ventre, ses lèvres entourant sa chatte. Avec un soupir de soulagement, elle laissa un jet de liquide chaud et fumant jaillir de son entrejambe et inonder la bouche du garçon. Celui-ci faillit s’étouffer avec l’urine de sa maîtresse, mais il parvint à tout garder en bouche. L’urine matinale, acide et fortement parfumée, lui glissa au fond de la gorge en cascade.
Le jet était puissant et l’esclave luttait péniblement pour maintenir son visage plaqué contre la chatte de sa propriétaire. Des filets jaunes lui coulaient sur le menton. Alice l’entendit tousser et s’étrangler à moitié mais elle le maintint collé à elle. Aussi, amusée, la belle domina s’amusa à augmenter fortement le débit d’urine, ce qui eut pour effet de faire déborder le liquide de la bouche de Biscotte et éclabousser son visage.

Douche glacée pour le jeune esclave

A la fin, Alice décida d’éloigner un peu la tête du garçon de son entrejambe afin de l’asperger totalement. Elle lui pissa dessus en arrosant sa figure, ses cheveux et son torse.
Lorsqu’elle se fut entièrement soulagée, l’esclave était trempé, couvert de pisse. Il avala difficilement l’urine qu’il avait encore dans la bouche.
-Ce qui est bien avec la pisse, dit Alice en souriant avec amusement, c’est qu’elle permet non seulement de te nourrir mais aussi de désinfecter l’intérieur de ta bouche, ce qui sera utile pour ce qui va suivre.
Elle alluma d’un seul coup le robinet de la baignoire et s’empara du pommeau de douche.
-On tire la chasse, dit-elle ironiquement en pointant le pommeau vers son esclave.
Le garçon se recroquevilla instinctivement, conscient de ce qui allait lui arriver. Un puissant jet d’eau glacée jaillit et l’arrosa. Alice se plut à maintenir Biscotte sous l’eau froide pendant de longue minute, nettoyant le moindre recoin de son anatomie, le décrassant jusqu’entre les cuisses et sous les bras.
Lorsqu’elle mit fin à la douche l’esclave grelottait et claquait des dents.
-Essuies-toi et vient me rejoindre dans le salon !
Alice, belle domina, se laissa tomber sur son large canapé en cuir rouge. Il était moelleux et chaud, idéal pour s’y détendre pendant des heures. Biscotte vint se placer à ses pieds.

La belle domina humilie son esclave

-Qu’attendez-vous de moi, Madame ?
-Eh bien pour commencer, tu vas aller me préparer mon petit déjeuner dans la cuisine. Un bol de lait chaud, avec un peu de café, d’abord, et puis des toasts grillés. Je veux la moitié d’entre eux avec de la confiture, et l’autre avec du beurre et du miel. Presses également des oranges. Sers-moi le tout sur un plateau et apporte-le ici.
-Comme vous le désirez, Madame.
-Attends.
Alice pointa son pied droit du doigt.
-Lorsque je te donne un ordre, je veux désormais que tu m’embrasses les deux pieds en guise de remerciement.
-Oui, Madame.
Le jeune garçon se prosterna et baisa le pied droit de sa maîtresse, puis posa ses lèvres sur le gauche, avec servilité et soumission. Il plaisait à Alice d’humilier ainsi son esclave, de le rabaisser à un stade inférieur à celui d’animal. Bien entendu, même si juridiquement les esclaves étaient considérés comme des objets, ils étaient bel et bien des êtres humains comme les autres, quoiqu’on en dise. La loterie de la vie, bien injuste, les avaient simplement sélectionnés à la naissance pour devenir des serviteurs dociles et privés de la moindre liberté, condamnés à passer leur vie au service d’une femme.

Calvaire du jeune esclave

Le jeune garçon, le visage toujours enfoui dans le cul de sa Maîtresse, impitoyable dominatrice, sentit la main de celle-ci empoigner sa bite et se mettre à la frotter énergiquement. Alice était en train de violemment masturber son esclave, sans aucune douceur, lui tordant le pénis douloureusement à chaque mouvement.
-Je te préviens, le menaça Alice. Si tu jouis sans mon autorisation, je double ta punition, et crois-moi elle est déjà sévère !
Les poumons emplis des divers parfums qui flottaient dans l’anus de sa maîtresse, la bite en feu, secouée, pressée et frottée à l’extrême, l’esclave gémit et finit par n’en plus pouvoir. Après dix minutes de ce calvaire, à se retenir autant qu’il put, il éjacula directement dans les doigts de sa Maîtresse.
L’impitoyable dominatrice sourit, amusée, car elle avait bien évidemment prévue de branler son esclave jusqu’à ce qu’il jouisse, sans jamais lui donner l’autorisation de le faire. Tout cela avait bien entendu pour but de justifier la correction magistrale qu’elle lui réservait.
Alice quitta sa position assise et libéra l’esclave du poids de son cul, écrasant sa figure. Biscotte se mit à inspirer bruyamment, reprenant son souffle après tout ce temps passé à s’asphyxier à moitié. Il contempla la main couverte de sperme de sa Maîtresse et déglutit.

Punition exemplaire !

Alice put lire distinctement la peur dans ses yeux. La peur de ce qui allait fatalement arriver.
-Je t’avais prévenu, dit Alice en essuyant calmement sa main sur son oreiller. Tu étais conscient de ce qui t’attendait, mais tu as délibérément choisi de te soulager, comme ça, sans ma permission. Qu’as-tu à dire pour ta défense ? Parle.
-Je vous en supplie, Madame, gémit l’esclave en balbutiant. Je n’en pouvais plus ! J’ai atteint ma limite ! S’il-vous-plait, je vous promets que ça ne se reproduira plus !
-Vraiment ?
-Oui, vraiment ! s’exclama le garçon avec une teinte d’espoir dans la voix. Je vous le jure.
-Tant mieux, cela me fait plaisir à entendre. Cela dit, tu mérites quand même ton châtiment. Une punition exemplaire.
L’espoir s’effaça complètement de l’expression du garçon. Sa Maîtresse le détacha et le conduisit jusqu’à une pièce qu’il n’avait pas encore visitée. Alice l’avait préparé expressément pour le jour où elle allait s’acheter un esclave. Elle l’avait meublée elle-même et avait dépensé une grosse somme d’argent pour s’offrir tout le matériel nécessaire. Aussi, les outils qui avaient été offerts par le Centre aux Esclaves étaient bien inutiles, car elle possédait déjà tout le nécessaire chez elle.

La salle des corrections

L’esclave vit avec horreur la porte de la pièce s’ouvrir sur vaste salle aux murs rouges et au sol noir, remplie d’objets de torture divers et variés. Des chaînes pendaient au plafond, faites pour pouvoir y suspendre un homme. Il y avait une rangée de cages de plusieurs tailles dans un coin, plus adaptées pour contenir un animal qu’un être humain. Sur une table en inox étaient étalés des dizaines d’accessoires sexuels, godes en tout genre, plugs multicolores, pinces, aiguilles, bougies, masques et cagoules… Fixés au mur, pendaient des fouets en cuir, des lanières, des martinets, des cravaches et des paddles. Il aurait fallu des heures pour décrire en détail chaque instrument dont disposait Alice dans ce qu’elle avait nommé sa « Salle des Corrections ».
-Tu vas inaugurer cette salle, esclave, dit Alice d’un ton enjouée, car elle parvenait mal à dissimuler son excitation. Tu as de la chance dans ton malheur car tu vas expérimenter une punition terrible, mais avec un matériel d’une grande qualité.
L’esclave tremblait de tous ses membres. Il avait instantanément cessé de bander.
Alice le conduisit jusqu’à un carcan métallique, au centre de la pièce, qu’elle ouvrit rapidement. L’esclave s’y plaça, y mit sa tête et ses bras, puis sentit le carcan se refermer. Cela fait, Alice lui écarta les jambes et maintint l’écart entre les deux grâce à une barre de fer dont chaque extrémité était fixée à une cheville du jeune garçon. Alice recula et admira son œuvre.
L’esclave était ainsi penché péniblement en avant, emprisonné par le carcan et totalement immobilisé.

Fouetté par l’impitoyable dominatrice

Ses jambes écartées lui offraient une position précaire qu’il maintenait difficilement. Ses deux cuisses étaient ouvertes sur un petit anus rosé, encore vierge, offert à toutes les sévices que pourrait lui infliger sa propriétaire. Pour parfaire le tout, Alice enfonça brutalement un gag-ball dans la bouche ouverte de l’esclave et en serra fortement les lanières autour de sa tête.
Elle s’avança vers un mur de la pièce et en décrocha un long fouet noir à l’aspect menaçant.
-Autant que je te l’avoue, petit esclave, admit Alice avec une voix faussement coupable, je n’avais aucune intention de t’autoriser à éjaculer. J’aurais très bien pu t’emmener ici sans aucun prétexte, juste parce que l’envie m’était venu de te fouetter, mais cela aurait été moins drôle, non ?
L’esclave s’agita, les yeux grands ouverts. Il tremblotait, devinant ce qui allait se passer.
Alice se mit à le fouetter énergiquement. La lanière de cuir siffla dans l’air et s’abattit sur les fesses du garçon, claqua contre ses cuisses et dessinant une longue marque rouge sur sa peau. L’esclave tressaillit et gémit de douleur. Alice continua à le molester avec des gestes parfaitement maîtrisés. Elle zébrait le dos, les jambes et le cul de Biscotte à chaque coup. L’esclave fut ainsi copieusement fouetté pendant près d’une heure. A chaque coup, Alice faisait une pause d’une minute ou deux, parfois plus longue ou plus courte pour que le jeune garçon ne sache jamais à quel moment il allait en recevoir un nouveau.

L’impitoyable dominatrice s’éclate !

Cela était très plaisant de voir son esclave se trémousser inutilement dans son carcan, comme si, en s’arcboutant, il allait pouvoir éviter les coups. Alice écoutait avec attention les grognements de douleur et les ahanements de l’esclave, savourant son supplice avec délice. Ses gémissements et ses suppliques étouffées par le gag-ball sonnaient à ses oreilles comme une agréable mélodie.
Alice se rendait compte qu’elle était un peu sadique sur les bords. Cette pensée l’amusa.
-Je sais que c’est très difficile à vivre pour toi, dit Alice à son esclave entre deux coups de fouet, crois-moi, je ne voudrais pour rien au monde être à ta place. Mais tu dois l’endurer, car désormais, la souffrance fera partie intégrante de ta vie. Je compte te fouetter ainsi au moins une fois par semaine. Pas pour te punir, juste pour me faire plaisir et me relaxer. C’est important d’avoir un défouloir sur qui passer ses nerfs et son stress. Ce sera ta correction gratuite hebdomadaire. Qu’en dis-tu ?
L’esclave gémit. Alice sourit et repartit de plus belle dans son manège.
Alice s’arrêta à la fin de l’heure, laissant retomber la lanière de cuir. Le dos et le cul de l’esclave étaient recouverts de lignes violacées, traçant des motifs complexes et même artistiques sur sa chair. Alice alla poser le fouet sur une étagère et s’empara d’un gode-ceinture.
-Maintenant, on passe aux choses sérieuses !

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

CAGE DE CHASTETÉ

CHASTETÉ MASCULINE

PETITS PAS... Niveau 1

SODOMISER POUR DOMINER